Arrivé de Zaraki

Parti 1: La rencontre

À des lieux de cette endroit, sous le sombre voile d'une journée pluvieuse, un grand homme à la coiffure élever s'assit parmi les autres qui s'étaient réfugier au bar. Sur la chaise voisine, s'y logeait un mystérieux gaillard. La personne avait un imperméable brun qui lui montait jusqu'au nez et un chapeau blanc. Entre Zaraki et cette homme, reposait son instrument. Un grand épouvantail de paille. Zaraki posa son zanpakuto à côté de l'épouvantail. Il remarqua que l'homme à l'imperméable le regardais d'un mauvais œil. Il avait le regard mauvais.

Après que le pluie eu fini de tombé, Zaraki sorti dehors, suivi par cette homme. Il tenait son épouvantail comme un baluchon. Zaraki remarqua sa filature et d'un déplacement éclair alla juste derrière la type. Ce derniers n'avait pas vue Zaraki venir. Son œil surpris scrutait Zaraki qui était toujours derrière lui. La rue était déserte. La pluie ce remis alors à tomber. L'homme à l'imperméable ce retourna et enleva son chapeau blanc. C'était quelqu'un qui devait avoir dans la trentaine, cheveux noir, et il lui manquait une oreille. Il resta là un moment... choisissant ses mots.

- Tu es rapide.

Mais Zaraki ne répondit pas, son regard commençait à pesé vraiment lourd sur l'homme à l'épouvantail. Soudain, celui qui lui faisait face ce décida enfin à parler.

- Harg... je me demande pourquoi un blaireau comme toi me suivais.

Ce fût au tour de l'homme à l'imperméable d'imposer son silence. Il n'était pas du genre à répondre au insulte. Il remit son chapeau.

- Tu avais l'air perdu..

Zaraki fût alors un peu déconcerter. Il l'avait pris en pitié où quoi? Zaraki empoigna le manche de son zanpakuto.

- Met les voiles.
- Très bien... comme tu voudras.

L'homme à l'imperméable et au chapeau blanc s'en alla. Il tourna quelques coins de rue avant d'entré dans une sombre demeure. Là-bas l'attendais une femme...

- Alors?
- J'en ai trouvé un.
- Il est fort?
- Pas aussi fort que vous... mais oui, il est fort.
- Super! Et qu'a-t'il dit?
- De quoi?
- Tu lui a parlé?
- Ben c'est que...
- Tsss... comme d'habitude, tu ne sert à rien!
- Bon bon, j'y retourne.
- Ne reviens pas ici sans lui!

Il ressortit dehors avec son épouvantail. Le temps était toujours pluvieux. Après un bonne marche, il fût de retour devant le bar. Au loin, il vue Zaraki qui marchait vers l'extérieur du village. Sous son imperméable, il courut pour le rattraper. Son outil de combat était lourd et encombrant, ce qui failli le faire trébucher. Ses pas était lourd mais le mena au coté de Zaraki.

- Je t'ai dit de me laisse tranquille.
- Tu ne sais pas où aller, mais moi j'ai un travail à te proposer, laisse moi au moins te parler.
- Fait vite...
- Ah... euh... pas ici... vient avec moi et tu en sera d'avantage.

Zaraki s'arrêta de marcher, l'autre l'imita. Il réfléchi un moment.

- Si c'est un tour...
- Non non t'inquiète! Aller viens!

Ils repartir en sens inverse. Il cessa alors de pleuvoir et les nuages commencèrent à ce dissiper. Zaraki suivait l'homme et son épouvantail.

- Je peux savoir ton nom?
- C'est Genkun Kashikun, et toi c'est comment?
- Zakari.
- Tu n'es pas très bavard hein?

Zakari Kenpachi ne répondit pas à sa question. Il était persuader que ce serait une perte de temps, d'ailleurs il était sur le point de s'en retournée quand Genkun arriva devant une demeure noire et au rideau fermer. Il y entra le premiers, suivi par Zaraki. Ils longèrent un couloir puis se retrouvèrent dans un salon où une femme les attendais. Zaraki fût très surpris de la voir. Elle avait les cheveux cours, un regard détendu et un sourire satisfait en voyant Zaraki.

- Alors c'est lui?
- Oui...
- Tu peux aller préparer nos affaire.
- Très bien.

Genkun se retira. La femme invita Zaraki à prendre un siège.À première vue, c'était une femme fier et forte.

- Je suis contente que tu sois venue. Les hommes courageux ce fond de plus en plus rare. Je m'appelle Haniba, et toi?
- Zaraki, qu'est-ce que je fou ici?
- Ça, il n'y a que toi qui le sais. Ce que je peux te dire, c'est qu'est-ce que tu gagne à être ici. Tu gagne l'argent, une tonne d'argent, en échange de ton aide.

Zaraki allait dire que l'argent ne l'intéressa pas. Mais il décida d'attendre voir qu'elle est le service que cette femme voulait de lui.

- Qu'est-ce que je dois faire?
- Haaaa! Je savais que ça t'intéresserais. Dans deux jours, je voudrais que tu infiltre un puissant village. Il te laisserons passé. Tu n'auras qu'à leur dire que tu veux faire parti de Suna...

Haniba attendit la réaction de Zaraki. Mais aucune ne vint. Elle eu un léger sourire. Elle croyait avoir trouvé l'homme qu'il lui fallait.

- Ensuite, à la tombé de la nuit du même jour, tu iras tuer en douce les gardes qui surveille la porte. C'est une opération qui ne peut s'effectuer que de l'intérieur. Ton boulot s'achèvera là.
- Tu peux faire ça tout seul...
- Non, nos visages sont connu là-bas...
- Et où trouveras-tu l'argent?
- Moi et Genkun irons dans la tour du Kasekage et volerons tout l'argent qui s'y trouve. Bon assez parler, nous partons maintenant! Si tu veux bien me suivre...

Zaraki ce leva et suivit Haniba. Genkun les attendais avec une valise. Ils partirent tous vers une nouvelles destination.

Parti 2 : Le combat

Les trois mercenaires marchèrent durant deux jours. Ils atteignirent une grotte, à quinze-cent mètres des portes de Suna et s'y installèrent. Zaraki avait bien réfléchi à leur offre. À ses yeux, elle ne valait rien. Bien qu'il avait fait tout ce chemin, il n'était pas plus décider de faire cette mission. Ils étaient présentement tous assit en rond, dans la grotte. Zaraki ce leva.

- Bon, je change le plan.
- QUOI!
- Combattez moi, si vous gagner, j'irais faire votre demande gratuitement. Si vous perdez, oubliez moi.

Haniba était sous le choc. Pourquoi ce battre? Tout allais bien... Zaraki c'était-il joué d'elle depuis le début? Cette idée la rendis furieuse.

- Très bien, mais tu ne gagnera pas. Genkun, attaque-le.

Genkun obéit. Il posa son épouvantails et des files de chakra ce formèrent. L'épouvantail prit alors vie et commença à s'animer seul.

- Attaque moi!
- Tout de suite!

Genkun fît commença à orchestrer les mouvements de son pantin de paille. Les deux adversaires était un peu à l'étroit dans cette grotte. L'épouvantail commença par enlever sa mains gauche, et des aiguilles sortirent à grande vitesse de son bras. Les aiguilles traversèrent la grotte et atteignirent Zaraki. Seulement, au lieux de s'enfoncer dans sa peau, les aiguilles rebondirent sur le torse de Zaraki et tombèrent à terre.

- Ah! Pathétique.
- Cris pas victoire trop vite!

L'épouvantail de Genkun fonça vers Zaraki à une vitesse phénoménal. Dans sa lancer, une lame d'acier sorti de la bouche de l'épouvantail. Ce derniers fonça vers Zaraki, tête première. Son adversaire sortit son Zanpakuto de son fourreau et quand l'épouvantail fût assez près, il détourna sa lame en donnant un coup dessus. Mais l'épouvantail avait plus d'un tour dans son sac. Ses bras ce détachèrent, révélant deux autres lames cachés aux extrémités. Les bras allèrent percer le torse de Zaraki. Le sang gicla sur le pantin. Genkun fît alors reculer son pantin et ramena ses bras à ses épaules. Quand il regardât Zaraki, il constata avec surprise que celui-ci souriait de joie.

* Pourquoi sourit-il comme ça? *

- Tu n'es pas un blaireau finalement...
- Biensur que non!

Genkun orchestra une nouvelle attaque. Son opposant ne s'était toujours pas défendu. Il se demanda pourquoi. Essayait-il de le déstabiliser? Genkun en conclue qu'il devait avoir peur. Il alla recommencer une nouvelle attaque quand soudain...

- Genkun arrête toi!

Celui-ci, surpris, ce retourna. Haniba semblait sérieuse.

- Pourquoi?
- Je vais m'occuper de lui...
- Mais...

Elle la fusilla du regard, ce qui fît tout de suite taire Genkun. Le marionnettiste ramena son épouvantail et laissa la place à Haniba. Celle-ci s'avança. Cela faisait longtemps que Genkun ne l'avait pas comme ça. Haniba s'arrêta à quelques mètres de Zaraki.

- À nous deux mon grand...
- Un deux contre un ça vous tente?

Cela mît Haniba vraiment en colère. Elle fît quelques signes de la mains et plongea son adversaire dans un genjustu. Le décor autour de Zaraki devint noir comme dans un four. Il ne voyait plus Haniba. Soudain un Kunai fît une entaille dans son bras droit. Il entendit le rire de Hinabi. Il semblait venir de tout le côté.

- Que compte tu faire?

Zaraki était debout, impassible. Un autre Kunai vint faire un entaille dans son bras gauche, puis dans sa hanche, puis encore dans son bras gauche. Zaraki ne pouvait rien faire. Si les Kunais n'aurait pas été lancer, il aurais pu essayer d'attraper Hinabi, mais dans cette situation cela était impossible. Ça ne se voyait pas, mais Zaraki souriait encore. Il adorait combattre. Il laissait les Kunais d'Hinabi transpercer sa peau. Il n'y pouvais rien de toute manière.

- Tu es coincé hein?
- Tes attaques fond pitié.
- À bon? ... Alors admire celle la!

Un fuma shiruken traversa toute la salle et fît un gigantesque entaille dans l'épaule de Zaraki. Celui-ci encaissa avec rudesse l'attaque. Il commença à en avoir vraiment assez de ne pouvoir rien faire dans ce noir absolue.

- Fait chier...
- Qu'est-ce qu'il y a? Tu es fatiguer?

Il ne répondit pas à sa question. D'autre Kunaïs vinrent faire d'autre entaille sur Zaraki. Celui-ci commença à faire des déplacements éclaires dans le noir. Il cherchait les murs de la grotte pour pouvoir ce localiser. Il en trouva un assez rapidement. Il constata que la surface était recouverts de Kunais. C'était les kunais de Haniba qu'il s'y était loger. D'ailleurs, un autre Kunai fît encore une entaille sur Zaraki. Celui-ci eu une idée. Il déchira un bout de sa tunique ensanglanté et fît une corde avec. Il retira ensuite des kunais d'Haniba et fît passer la corde dans les anneaux des petits couteaux. Il pris avec lui une cinquantaine de Kunais. Après il se remis au centre de la grotte.

- Qu'est-ce que tu fais?
- Je te découpe.

Zaraki couru alors vers les murs qu'ils avaient repéré. En chemin, il encra des Kunais dans le sol, face tranchante vers le haut. Ils encra ses 50 Kunais en suivant une forme précise pour pouvoir savoir où était ses Kunais. Quand il eu fini, Zaraki sorti son Zanpakuto et couru en le balança sur le côté. Il courais en fouettant l'air dans la direction des Kunais que lui lançait toujours Haniba. Celle-ci fût donc obliger de se déplacer, mais dès qu'elle eu fait quelques pas, Haniba se coupa les pieds sur les Kunais planter dans le sol. La femme cria de douleur et tomba par terre. Manque de chance, sa mains droite fût déchirer par un autre Kunais. Le Genjutsu tomba alors et Zaraki pût voir Haniba.

- Haniba!!!

Genkun couru vers Haniba en évitant les Kunais.

- Sa va?
- Biensur que non espèce d'imbécile!

Zaraki avait une centaine s'entaille dans sa peau, et sa tunique était en lambeau, sans parler du gros trou qu'avait fait le fuma shuriken dans son épaule. Il marcha vers Haniba et Genkun, son Zanpakuto toujours sortit. La peur envahie alors les yeux d'Haniba. Genkun se plaça entre Zaraki et elle.

- J'ai gagner, aurevoir.
- Salop!

Zaraki ne répondit pas à l'insulte de Genkun. Il se dirigeât vers la sortit de la grotte.

- ESPÈCE DE SALOP!

Genkun prit un kunai à terre et couru vers Zaraki.

- Non attend!

Le marionnettiste se retourna.

- Il a gagner... laisse-le.

Haniba dit ça avec un air vraiment désoler. Genkun soupira, il laissa tomber le Kunai et retourna vers Haniba. Zaraki lui, sortit de la grotte.

Parti 3: Arrivé à Suna

Zaraki marcha en direction de Suna. La fraîcheur de la grotte l'avait quiter depuis quelques minutes et le soleil tapait vraiment lourd sur ses blessures. Zaraki resta impassible face à sa douleur, et celle-ci ne l'empêcha pas de luter contre le vent et le sable. Mais il trouvait cette marche vraiment pénible et inconfortable. En cour de route, il pensa à son combat. Ça avait été un magnifique combat. Cependant, le manque d'expérience de Zaraki dans ce monde lui avait valu une centaines de entailles. Il pensa donc à un moyen d'acquérir de l'expérience.

Après 20 minutes de marches, il arriva devant un mur gigantesque. Il longea le mur. Cela lui pris 10 bonnes minutes à trouver l'entrée de la ville. Il longea l'énorme trou du mur avant d'y être accueilli par un garde. En le voyant, Zaraki trouva en lui ce qu'il cherchait. Quel meilleurs moyen d'acquérir de l'expérience qu'en s'engageant dans une puissance militaire? Ses blessures saignait toujours. Il se demanda si c'était pourquoi le garde ne l'avait toujours pas parler. Zaraki souris et lui dit alors:

- Éh! Je rejoins vos rangs à Suna ok?