Seule au monde...

Oni revenait tranquillement de son entraînement quotidien à frapper des pierres. Personne n’a jamais dit qu’Oni était une lumière… Somme toute, elle n’était pas stupide, avait une bonne capacité de réflexion – quand elle voulait bien s’y mettre – et savait analyser les situations mieux que personne – de nouveau, quand elle voulait bien s’y mettre – mais elle savait aussi en profiter à son avantage… Et son avantage, elle le trouvait souvent dans des actes assez farfelus. Frapper une pierre ? Quel intérêt ? User de technique était bien plus efficace ! Mais Oni aimait bien frapper, alors elle développait ce qu’elle aimait… Ne vous inquiétez pas, ce n’est pas non plus un boulet incapable de se protéger ou de se battre. Elle ne serait pas Jounin si c’était le cas ! Certes, il y avait peut-être un peu de chance dans le fait qu’elle avait réussi l’examen chuunin mais… cela c’est une autre histoire !

Ne dites jamais à cette charmante demoiselle qu’elle est inférieure à vous, elle pourrait vous le faire regretter, et pas spécialement par la force. Sa fierté n’a d’égale que son amour pour la liberté et le voyage. Oni aime se promener, visiter et découvrir de nouvelles contrées. Lors de son exil dans les montagnes auprès de son sensei – Paix à son âme – elle avait passé des journées entières à découvrir cette contrée étrange, à visiter chaque grotte, chaque crevasse. Cela parfois au dépend de son corps car une chute pouvait être périlleuse. Elle était plusieurs fois revenue à la maison du vieillard avec quelque chose de cassé, ou encore des bleus et des égratignures. Mais elle était solide, c’est ce qui avait forgé son caractère et son propre corps également.

Au retour, donc, de sa matinée éprouvante, Oni passa par les rues calmes de Suna. Les habitants vaquaient à leurs occupations habituelles et semblaient tout à fait sereins. Du moins, c’est ce qu’il sembla à la petite damoiselle. Elle dut traverser le quartier commerçant pour rentrer chez elle. Elle aimait l’ambiance de ce quartier car il était toujours l’un des plus animé. Dans les rues ensoleillées, malgré la chaleur, les marchands étaient toujours bruyants et joyeux, souriant tout en proposant leur marchandises à des clients potentiels, qui étudiaient les produits, parfois avec attention, souvent sans. La plupart étaient habitués à trouver exactement ce qu’ils recherchaient, et ne s’en retournaient chez eux que plus heureux, une fois leur poches remplies de babioles ou de vivres.

« Hey, ma p’tite dame ! Oui, vous ! Que dites-vous de mes beaux fruits ? Je peux vous faire un bon prix ! »

« Venez voir mes bijoux ! Cuivre, or, argent ! Les plus belles affaires du Subaku ! »

Cela la faisait sourire, mais elle ne s’arrêtait pas pour regarder. Oni avait déjà tout ce dont elle avait besoin chez elle et n’aimait guère le superflu. Elle s’était toujours dit que, si jamais elle devait partir un jours, elle n’aurait pas besoin de babioles. La jounin n’aimait guère se faire sédentaire. Elle était née nomade, et le resterait à tout jamais au fond d’elle-même. Même séparée de sa famille, elle restait liée à elle par le sang et l’âme du désert. Si le clan UmaKaze n’était pas un clan ninja, il n’en gardait pas moins une consonance particulière pour ses membres.

Oni avait été la première a déserté le destin familial et à rejoindre les forces armées de Suna. Et elle savait qu’elle serait la seule à le faire.

Elle finit enfin par rejoindre ses appartements. Situé au deuxième étage d’un immeuble à seulement deux rues du quartier marchand, l’endroit avait quelque chose de simple et de sobre. Elle fit un effort et entra par la porte cette fois-ci. Il fallait bien de temps en temps l’utiliser, se disait-elle, histoire de préciser le pourquoi de son emplacement et son utilité. Et puis, Oni avait mal aux pieds et n’avait qu’une idée en tête : Douche, dodo, et… Elle irait peut-être ensuite prendre des nouvelles des assignations aux missions à la tour du KazeKage.

Lorsqu’elle entra chez elle, tout était calme. Les rayons du soleil entraient par la fenêtre, traversant les pâles rideaux de couleur sable, éclairant un lit aux draps immaculés. Les dits draps avaient, bien sûr, souffert d’une véritable tornade qui était passée par là dans les alentours des cinq heures ce matin, heure à laquelle Oni pouvait assurer qu’elle dormait encore bien qu’elle se dirigeait, tel un zombie mal réveillé, vers les toilettes, la salle de bain, et – étant donné que c’était sur son chemin – la machine à café.

Bref, Oni, c’est une bordélique qui ne fait pas son lit le matin.

Cinq heures, c’était probablement à cette heure-là qu’avait sonné le glas pour le pauvre réveil. Cause de la mort ? Les indices sont fiables : l’objet a sans doute quitté sa position initiale ce matin, que nous devinons comme la petite table posée à côté de la tête de lit, et a probablement volé à travers la pièce pendant une à deux secondes avant de se fracasser contre le mur opposé. Si ce coup n’a pas été fatal, la chute qui le suivit fut certainement mortelle pour le pauvre petit tas de ferraille qui décore désormais le plancher de la pièce. Attention où vous marchez !

Croc ! Ca c’est le bruit que font toujours les épaules de la jeune fille lorsqu’elle s’étire paresseusement. Elle a fermé la porte et a posé les petites choses qui peuplaient ses poches sur la table de la minuscule cuisine. Et la voilà qui se dirige vers le frigo pour prendre une grande gorgée d’eau bien fraîche ! Ouah, ça, ça fait du bien ! Puis elle regarda le contenu de son frigo et attrapa une banane avant de le refermer. Si quelqu’un vient me dire que les chevaux ne mangent pas les bananes, moi je vous amène mon poney… Je vous jure qu’il en mange…

Soit ! Ce n’était pas non plus parce qu’elle était née sous le signe du cheval qu’elle devait se limiter aux carottes, à l’herbe, au foin et à l’avoine. En plus, pour trouver ce genre de chose à Suna, merci mais vous repasserez, hein. Bon, qu’est-ce qu’elle voulait faire encore ? Ah oui, oui… Donc, notre cher petite mangea calmement sa banane, terminée en deux minutes. Ensuite, elle se dirigea vers la salle de bain. Aussi petite que le reste de l’appartement, la pièce toute blanche ne comportait qu’une douche, un lavabo, des toilettes évidemment et un miroir.

Elle ôta ses vêtements sales et les mit dans le panier à linge un peu trop rempli. Oni, faut aller faire ta lessive, t’aura bientôt plus rien à te mettre ! Bon soit… Voilà qu’elle joue aux exhibitionnistes ? Non, vous devez confondre. La p’tite demoiselle prend juste une douche… Vous savez, l’espèce de boite avec un jet d’eau – chaude en général, mais elle préférait de loin les douches froides – où l’on entre tout nu et dont on en ressort tout mouillé ? Oui ça !

Nous ne décrirons pas plus la scène de la douche pour des raisons totalement éthique. Un peu de pudeur en ce monde ne ferait pas de mal, surtout que … Non, préservons le mystère des futurs RP, vous verrez bien. Oni sortira de la douche et passera une serviette de bain autour de son petit corps fin tout mouillé. Cela lui avait fait le plus grand bien, et avait soulagé ses muscles endoloris. Elle rassembla ses cheveux trempés dans sa nuque et les essora avant de s’essuyer et de se changer.

Elle enfila ensuite une vieille et large chemise qui traînait sur le sol et retourna dans la chambre/salle à manger, à moitié nue donc. Elle avait envie de rattraper un peu de sommeil avant de partir en mission, s’il y en avait de disponible. Elle sauta sur son lit, semblant ne même pas remarquer l’horrible craquement que le matelas hurla, protestant contre les mauvais traitements que son propriétaire lui infligeait. Le pauvre n’a toujours pas reçu de réponse de l’Association des Matelas Martyrisés…

Elle n’eut guère du mal à trouver le sommeil. La douche avait fini de la détendre et son entraînement l’avait fatiguée. Mais c’est en sentant une sensation étrange à sa paume droite qu’elle fut accueillie dans les bras de Morphée, n’ayant guère le temps de trouver quelle était la cause de ce qui chatouillait ses nerfs sensitifs au niveau de son tatouage.

~ * ~ * ~

Au début, tout était flou. Elle marchait dans un océan de couleurs et d’odeurs forestières. Puis, au fur et à mesure que ses pas se rapprochaient du bruit léger d’une cascade, le paysage se dessinait, se détaillait. Une chose était sûre, elle n’était pas à Suna. Il faisait trop frais et trop humide. De plus, les arbres, les plantes, le paysage, les bruits… Rien ne lui évoquait son tant aimé pays du vent. Où se trouvait-elle donc ?

Elle suivait un petit chemin de pierre à travers une forêt peu dense et, à quelques mètres à sa droite courrait une rivière calme à l’eau aussi claire et transparente que le verre, tellement pure qu’elle pouvait, de là où elle était, distinguer les formes des poissons qui suivaient le sens du courant. Mais elle ne s’attarda pas sur les fish-ticks. Elle continua son chemin, espérant trouver le pourquoi du comment au prochain détour.

Elle y trouva effectivement quelque chose, mais de là à dire que ça expliquait son rêve… C’était beaucoup dire.

Elle arriva au pied de la rivière. Face à elle, une immense cascade dégringolait depuis le sommets de rochers abruptes dans un bruit presque assourdissant désormais. L’endroit était humide, tellement humide que l’habitante du désert en frissonna de malaise. La rivière formait un petit bassin sous la cascade avant de suivre son cours normal, celui qu’elle avait longé, et sur le côté gauche de ce bassin, le petit chemin continuait, pour contourner l’étendue aqueuse et disparaître au pied de la cascade.

Elle s’entoura de ses bras, essayant de calmer l’impression de froid et d’humidité à laquelle elle n’était guère habituée. Elle remarqua alors qu’elle portait des vêtements différents de ceux qu’elle portait ce matin. Il s’agissait en effet d’une tenue plus dénudée, plus moulante et beaucoup plus sexy. Ses mains ne portaient plus ses bandages noirs qu’elle portait toujours pour camoufler la présente de son étrange tatouage, désormais bien visible sur sa main droite. Ses longs cheveux étaient rattachés à l’aide de son bandeau de jounin dans une coiffure un peu plus compliquée que celles qu’elle arborait en temps normal. Mais s’il s’agissait d’un rêve, … et bien, il ne fallait pas vraiment chercher d’explication.

Elle s’avança encore un peu dans l’endroit, suivant le tracé du petit chemin. Et puis… Elle les remarqua.

Il lui sembla les sentir avant de les voir réellement. Elle n’était pas seule en ce lieu. Ils semblaient tous arriver de positions différentes, tous en même temps. Son premier réflexe fut la prudence, avant de se souvenir qu’elle rêvait… Mais en même temps, ce rêve lui semblait bien trop réel, bien trop précis pour être un simple rêve. De plus, elle avait comme une étrange impression et les fourmillements au niveau de son tatouage n’avaient pas cessé.

Quelque chose l’attirait dans cette cascade. Elle ne savait quoi précisément, mais la curiosité et l’envie d’avancer était si forte qu’elle n’y résista pas longtemps. Elle suivit le chemin, et fut la première à pénétrer sous le passage, par un étroit chemin entre l’eau et la roche, engloutie par l’obscurité envoûtante du lieu.

Ensuite, elle ne bougea plus.

Elle ne savait pas si les autres l’avaient suivie mais quelque chose lui disait encore qu’elle n’était pas seule. Petit à petit, une très faible lumière empli l’espace. Ses yeux, peu habitués à une pareille obscurité, ne purent déceler grand chose au début. Elle ne voyait que des ombres, des formes floues et indistinctes. Elle n’entendait aucun bruit, elle qui se vantait pourtant souvent d’avoir une ouïe exemplaire, si ce n’était quelques froissements de tissu qui ne concernait que ses propres mouvements.

La lumière s’intensifia lentement. Elle put alors déceler quelques détails. Elle n’était effectivement pas seule : Ils étaient douze. Pas un de moins, pas un de plus. Douze hommes et femmes se tenaient debout autour d’une forme géométrique bien connue : Un cercle. Non seulement un cercle mais qui contenait en son centre le symbole de l’équilibre, le Yin et le Yang, un symbole qu’Oni ne se souvenait pas avoir déjà vu. Toutefois, cela lui inspira quelque chose qu’elle ne sut définir exactement à ce moment-là.

Elle attendit allongée contre un arbre révant à sa solitude et à cette jeune kunoichi...

Hayen était encore au tournoi, pataugeant dans une activité sans plaisir, mêlé à l'excitation de retrouvé sa soeur, son visage blasé ne laissait transpaître que son ennui. S'occuper des aspirants, pour un sanin, il était de meilleurs activité, mais Matsumoto lui avait prié de rester à Mihanasu, craignez-il pour sa vie ? Craignez-il que l'un des meilleurs shinobis du monde terrestre puissent venir à mourir... Hayen restait perplexe quant à cette information, et où était passé cet homme flegmatique ? Son Mizukage avait disparu et un autre homme était venu le remplacer, tel des fourmis sans âme ni sentiments, présente dans le seul but de remplir leurs tâches et que diable si l'une des meurt, elle sera de suite remplaçé... Mais il n'était pas dans les moeurs de faire revivre l'un d'elle. Comment Matsumoto avait-il pû revenir d'entre les morts ?

Cela importait peu désormais, Hayen flétrissait dans sa médiocrité, incapable qu'il était de se battre à pleine puissance, depuis longtemps il y réflechissait... Sa nouvelle puissance, le royaume des illusion, Houkou... Le bijuu qui avait réussi à vaincre les cinq éléments pour les dompter et les utiliser à sa guise. Mais comment étais-ce possible ? Avait-il réussi à vaincre les cinq élémentariste alors novices ? Quelle puissance recelait ce monstre ?!
Le froid présent à ses cotès sembla se manifester, une fois déjà il avait eu pareils pensées transmises... Matsumoto lui envoyait des informations. Nouvelles aprises, Hayen regarda le village, il demanda à Momochi de s'occuper du tournoi en attendant son propre retour.
Ces quelques pensée avait rallumer le désir sommeillant, enfin il allait prendre part à cette grande guerre. L'extermination de l'Akastuki, la fin d'un vieus monde fatigué, brulé par les guerres, rongé par les souvenirs, tout cela allait disparaître et faire place à un nouveau monde, certes moins peuplé mais tellement plus beau...

Aujourd'hui, Hayen avait une cible en tête, il savait qu'à Ame il allait trouver sa proie. Les abres défilaient, les décors s'enchaînaient pour enfin arriver à Ame... Le village de la pluie, le spectacle d'un nouveau commencement.

Hayen arriva prêt d'Ame, positionné dans les arbres, il scrutait les environs, dans l'espoir fou qu'un membre de l'Akastuki ne soit présent sur les lieux. Bientôt il aperçut une jeune femme, allongé sur le sol, baignant dans l'insouciance de ses doux jours, à l'ombre d'un arbre, sans aucune cachette autour d'elle, rien que l'herbe et les fleurs pour acompagner ce jolie visage. Hayen la reconnu, elle faisait partie de l'Akastuki, une criminelle de rang A... Elle aurai pu mourir de suite, mais ce n'était pas là le but du Jinruchiki, il voulait autant fuir la rencontre iminente de sa soeur que l'examen...

Ses pas l'amenèrent à quelques mètres de la jeune fille, maintenant, elle devait être alerté de sa précense, mais Hayen n'avait pas l'attitude d'un criminel...

Hayen- Est-ce bien prudent pour une jeune fille de l'Akastuki que de dormir à l'ombre d'un arbre ?

Il parlait avec lenteur, détachant chacun de ses mots, comme pour montrer que le temps d'écoule toujours de la même façon, si lent... Et peut être pour laisser la jeune fille en proie à la caresse du vent un peu plus longtemps, alors qu'elle gouterai à celle de la mort dans quelques instants.

Un réveil sous un ciel froid, dénué d’étoile ainsi que de soleil… Oni ouvre les yeux. La sensation d’engourdissement de ses membres venant toucher ses sens en premier lieu, comme s’ils venaient se plaindre en repoussant tout le reste pour bien se faire entendre. Elle bailla, de sa grande tête blanche. Les crins noirs lui tombaient au dessus des yeux, obscurcissant sa vue désagréablement. Elle remit tout ça en ordre d’un geste vif de l’encolure avant de déplier lentement ses jambes avant devant elle. Le sang revenant correctement irriguer ses muscles, elle prit appui sur ses antérieurs pour pouvoir faire de même avec ses postérieurs. Elle fut debout en quelques secondes, quittant le doux lit d’herbes molles sur lequel elle s’était blottie la veille au soir.

Elle avait rêvé cette nuit… d’une cascade. Cette cascade qui la hantait… Mais toujours sans aucun moyen de la localiser, Oni se demandait bien vers quel point géographique elle devait se diriger… Se trouver à Taki était une chose, mais trouver une cascade dans un pays en était une autre, surtout lorsqu’on ne le connaissait pas et qu’on avait seulement l’image de la dite cascade ! Elle avait également revu dans son rêve les visages des silhouettes qu’elle avait pu observer plusieurs jours plus tôt dans sa « prémonition ». Oui, elle avait vu ce rêve comme une prémonition et non un véritable rêve. Or, ce soir, cela n’avait été qu’une sorte de « rappel »… qui ne l’avait pas vraiment plus éclairée, d’ailleurs.

Elle commença à manger, le regard dans le vide, réfléchissant. L’herbe avait un goût étrange… un peu âcre et doux à la fois. Elle tombait agréablement dans son estomac vide et la rassasiait bien vite. C’était un étrange petit déjeuner pour une humaine… Mais l’était-elle vraiment ? Cela faisait trois jours, voire quatre… elle ne savait plus… qu’elle s’était transformée en animal pour voyager plus facilement, ne se retransformant que quelques fois, pour se laver, resserrer son bandeau ou se faire plus discrète à l’approche d’un village ou de la vie. Mais mis à part cela, elle avait passé son temps sous sa forme de jument… Elle commençait à y prendre goût et une part d’elle n’aimait pas ça. Elle était femme avant tout. Même nue et sans armes.

Elle reprit sa marche quelques minutes plus tard sous le couvert d’un soleil levant d’un orange flamboyant et entourée de quelques arbres. Le terrain était encore quelque peu montagneux mais il n’y avait plus qu’une forêt immense qui s’étendait sous ses sabots après la dernière descente qui l’attendait. Elle était arrivée au pays de la cascade. Son regard suivit le cours du cours d’eau le plus important qu’elle pouvait apercevoir, petit reptile aux écailles bleutées serpentant entre les herbes d’un vert éclatant. Elle leva les oreilles, curieuse d’un tel pays qui semblait par sa végétation et son humidité être l’exact opposé de Suna… bien que l’on pouvait se demander si la neige n’était pas mieux qualifiée pour ce rôle. Mais elle n’avait même pas envie de penser à cette possibilité. La neige, c’était vraiment pas pour elle.

Le pas tranquille, elle s’engouffra dans les ténèbres de la luxuriante forêt vierge de Taki. Il y faisait sombre car les épaisses feuilles cachaient la lumière et par ce fait, empêchait presque toute végétation de pousser aux pieds des arbres énormes. Elle se résolut bien vite à trouver le lit de la rivière qu’elle avait pu observer, car sa progression entre les épais végétaux n’était guère une tâche facile. Les racines manquaient de la faire trébucher à chaque fois.

Le bruit et l’odeur de l’eau vinrent bientôt titiller ses sens. Mais ce n’était qu’un petit ruisseau qu’elle décida de suivre vers l’amont.

Le bras se formait au centre d’une petite clairière brillant sous le soleil, recouverte d’une herbe grasse et entourée d’arbres et de buissons. Oni cligna des yeux, surprise par la lumière, s’arrêtant. Après plus d’une heure passée dans les ombres, ces subits rayons vinrent lui griller sa rétine fragile. Mais à ce moment là, elle entendit un bruit qui la pétrifia totalement. Elle perçut une odeur qui la paralysa sur place et qui lui fit ouvrir les yeux. Sa vue mit quelques secondes à se réaccoutumer à la lumière mais elle finit par distinguer ce qui l’avait fait se figer au pied des arbres…

Droit devant elle, de l’autre côté de la rivière, un petit troupeau de chevaux lui faisait face : tout au plus une demi douzaine de juments, quelques poulains et un étalon. Elle ne sut pourquoi ce spectacle l’avait complètement paralysée mais elle ne répondit pas à l’hennissement qu’avait poussé l’étalon en voyant apparaître une jument sur ses terres, une jument qui n’appartenait pas au troupeau. D’un noir de jais, il proposait un étrange contraste avec la clairière. Musclé et largement formé, il semblait fort et impitoyable. Cabré pour la saluer, ses sabots battaient l’air avec force. Son regard fixé sur elle était flamboyant de défi et de convoitise en même temps.

Quelques juments avaient relever la tête avec intérêt, d’autres continuaient de brouter en compagnie de leurs poulains joueurs et curieux eux aussi. Ils observaient la scène avec une jeunesse non feinte dans leur regard. Elle avait l’impression d’assister à une scène épique qu’elle était la seule à comprendre…

Oni se risqua à faire un ou deux pas, lâchant un petit hennissement hésitant. L’étalon, qui avait dors et déjà reposer ses sabots sur la terre ferme, se mit à galoper à sa rencontre, traversant la rivière peu profonde avec un panache qui ne fit que l’impressionner un peu plus.

Mais lorsqu’il parvint à quelques mètres d’elle, il se fit menaçant. Ses dents et ses sabots furent brandis à son intention et, instinctivement, elle fit un écart et recula. Elle n’avait guère envie de se battre avec lui. Cet animal magnifique n’avait rien à craindre d’elle… du moins si lui ne l’attaquait pas réellement. Car aucun coup qu’il porta n’atteignit la jument blanche aux crins noirs. Il se mit à trottiner autour d’elle, et lorsqu’il s’approcha un peu plus, ce fut Oni qui montra les dents et manqua de lui en asséner un bon claquement. Mais il l’évita avec une sorte de reniflement dédaigneux et reprit son inspection.

Lorsqu’il s’arrêta enfin, elle eut comme l’impression d’être « acceptée » car il s’écarta pour retourner auprès de son troupeau sans plus lui attribuer d’attention. Elle le suivit avec un sentiment d’intrigue qu’elle avait à tout pris envie de dénouer. Elle traversa l’eau glacée à sa suite et fut rapidement entourée des autres chevaux…

Elle s’écartait de son but, elle le savait. Elle passa le reste de la journée dans la clairière à se remplir l’estomac d’eau et d’herbe grasse avant de se décider enfin à reprendre son propre chemin, au moment où l’étalon décidait de faire bouger le troupeau pour la nuit. Elle n’avait cessé de l’observer… Une si belle bête en liberté ! Cela lui soulevait le cœur de bonheur. Elle aurait certainement pu observer les dessins que formaient ses muscles sous sa robe si sombre pendant des lustres mais elle n’avait pas de temps à perdre… Après tout, ce n’était qu’un cheval, devrait-elle se dire. Mais, avec un petit pincement au cœur, elle se souvint de l’étalon blanc qui rôdait dans les déserts de Suna…

Elle partit, plus vite qu’elle n’était arrivée.

Sous le soleil couchant, elle reprit enfin la route qu’elle avait cherché pendant un moment. Suivre le cours d’eau était plus facile que de traverser la forêt. Les rives étaient principalement recouvertes d’herbes et de buissons bas. Elle avait de l’eau et à manger à sa portée et, si elle devait trouver une cascade, il était sans doute plus avisé de suivre l’eau plutôt que les arbres. Enfin, c’était son avis…

Qu’avait-elle failli faire aujourd’hui ? La pensée de rester parmi le troupeau et de laisser son but à bien plus tard l’avait traversée. Est-ce que c’était sa part animale qui reposait en elle qui avait parlé ? Elle avait hâte de trouver ce qu’elle cherchait. Plus vite elle le trouverait, plus vite elle retrouverait sa forme humaine et des pensées plus cohérentes, plus vite elle repartirait pour un autre endroit. En espérant qu’elle trouve des vêtements à sa taille…

Plus le soleil décroissait, plus elle sentait ses jambes se faire lourdes. Mais elle remarquait également que le courant de la rivière se faisait plus rapide. Elle continua alors, curieuse, lorsque ses oreilles perçurent un bruit léger : le grondement doux d’une cascade.

Elle fut bientôt penchée par dessus la falaise. A cinq mètre plus bas s’échouait l’eau qui coulait à quelques centimètre de ses pieds. Elle ne reconnaissait pas le paysage, mais le spectacle était grandiose ! Elle l’admira quelques secondes… avant d’aller se chercher un endroit plus sûr où passer la nuit.

Depuis combien de temps avait-elle quitté Suna ?… Un ninja digne de ce nom ne devait pas faire zèle de sentiments. Il devait les bloquer au fond de lui-même et s’efforcer de les oublier en toute circonstance. Le mal du pays en faisait partie. Elle n’aurait jamais dû commencer, encore moins continuer, à ressentir cette mélancolie qui lui enserrait le cœur tel un fil de fer barbelé et qui ne cessait de la tirailler comme pour la forcer à rentrer chez elle… Combien de cascades avait-elle vues ? Combien d’arbres ? Combien d’eau et de rivière ? Combien de brins d’herbe son corps avait-il digéré et assimilé ? Elle n’en savait strictement rien, elle avait, depuis deux jours, cessé de compter.

Le pire dans tout cela était certainement qu’elle n’avait aucun moyen de rentrer chez elle. Et si elle ne trouvait rapidement pas ce foutu temple et cette foutue cascade, la ninja qu’elle n’était plus allait sans doute péter un sérieux câble et sa colère serait probablement dirigée contre son propre pays, ses anciens amis et le monde en général. Elle était là, seule, et qui se souciait d’elle ? Des chasseurs de prime, désireux de la tuer pour éliminer toute menace qui n’avait jamais prouvé son existence… mais qui sommeillait peut-être quelque part en elle. Mais ils pouvaient toujours partir à sa recherche… ils ne trouveraient pas de trace d’elle, seulement les traces d’une jument solitaire extrêmement discrète qui avait emprunté divers chemins à peine praticables… Choses qu’elle se félicitait bien d’avoir fait : elle n’avait jamais avoué sa « particularité » étrange de pouvoir se transformer en animal à son Kage ou à quelqu’un d’autre d’ailleurs.

Parce qu’Oni n’avait pas d’amis à Suna. Et voilà qu’une autre plaie se rouvrait, béante et réclamant un épanchement de sang. Mais elle ferma ses pensées de force. Elle plongeait là dans un abîme de mélancolie maladive qui n’était bon ni pour elle ni pour la quête qu’elle avait décidée d’entreprendre. Inutile donc de continuer sur cette voie.

Le soleil se couchait lentement, délaissant la voûte céleste pour la léguer aux étoiles. Elle était allongée, sur le sol, sur le dos. De ses doigts fins et rendus douloureux par la marche qu’elle n’avait cessée depuis plusieurs jours, elle jouait avec le bandeau qui portait encore la marque de son passé. Une question vint se poser à son esprit tourmenté : Que devait-elle en faire, désormais ? Le barrer ? Le jeter ? Le garder ? Elle rechignait à accomplir les deux premières propositions et la dernière n’était guère avisée… Si quelqu’un s’en rendait compte, son signalement serait concentré sur Taki et son petit manège prendrait bientôt l’aspect d’une mascarade qui ferait rire beaucoup de gens… mais certainement pas elle…

Elle s’était posée au bord d’une rivière déchaînée. A une douzaine de mètres, une petite falaise découpait la forêt qui l’entourait dans un arc de cercle qui semblait éviter la cascade. Elle se tenait au centre de celle-ci, totalement à découvert mais, allongée parmi les hautes herbes, elle ne se pensait franchement pas repérable du premier coup d’œil. Et elle aurait bien le temps de repérer son ennemi, si ennemi il y avait, avant le second coup d’œil. Donc, tout allait bien…

Elle avait laissé le dernier village qu’elle avait « découvert » par hasard à plusieurs kilomètres au nord. Elle l’avait tout bonnement évité dès qu’elle en avait aperçu les premières traces. Elle ne souhaitait pas rencontrer des habitants de ce pays. Encore moins y rester plus longtemps, d’ailleurs. Mais elle n’avait pas le choix. Si elle ne le faisait pas, elle le regretterait toute sa vie pour aller se faire tuer quelque part ailleurs. Qu’avait-elle à perdre à chercher cette cascade ? Du temps, du temps qu’elle ne savait comment utiliser d’une autre façon, du temps qui filait comme le vent vers sa perte, si elle choisissait maintenant une autre direction. Elle n’avait aucune preuve logique qu’elle ne puisse survivre seule dans ce monde loin de Suna en tant que déserteur ninja, mais elle tenait dur comme fer ce raisonnement…

Elle n’avait même pas besoin de se demander pourquoi.

D’un geste presque trop habituel, elle rattacha son bandeau sur son bras gauche. Cela n’apaisa en rien le froid qui s’insinuait par sa peau nue mais elle rechignait de le mettre ailleurs. Si elle devait se transformer en urgence, tout autre endroit l’aurait déchiré comme du papier lors de la transformation. Elle se redressa un peu, soupirant, prenant appui sur ses coudes avant de se retourner sur le côté. Elle devait dormir, mais elle sentait que le sommeil ne viendrait pas. Ses pensées ne la lâcheraient pas ce soir.

La forêt était calme. Quelques oiseaux entamaient leur chant du soir avant de dormir, et il ne semblait pas y avoir d’autres animaux présents. Elle ferma les yeux. Le vent venait du sud, de la rivière et ne lui apportait que la douce odeur de la verdure luxuriante et nettement irriguée. Du temps passa. Combien, elle ne savait pas. Elle tanguait entre le sommeil et l’éveil mais elle venait de remarquer un curieux détail : le chant des oiseaux s’était brutalement arrêté et il pesait sur la clairière une étrange ambiance qui lui fit, sur le coup, froid dans le dos.

Mais elle n’eut même pas le temps de se redresser. Elle se figea dans son geste. Tout se précipita soudainement.

Elle vit, de ses yeux fatigués, un éclair fauve se diriger tout droit vers elle avec une rapidité presque extraordinaire. Une bouffée de terreur s’empara soudainement d’elle et bloqua le moindre de ses muscles. Elle sentit alors soudainement la chaleur de l’animal qui venait le lui sauter dessus, ainsi que son odeur de terre, d’animal et de sang. Elle ressentit une vive douleur lorsque les crocs s’enfoncèrent dans sa chair et que ses griffes, ne rencontrant quasiment pas d’obstacles, mirent en pièce la faible protection de son épiderme à divers endroits de son corps.

Ils roulèrent tous deux avec force dans l’herbe verte qui se teinta de rouge. Tout ce qu’elle vit de son agresseur, c’était un chat… un gros chat roux au pelage roux taché de brun foncé. Ses longues dents s’enfonçaient dans son épaule droite et ses griffes maintenaient sa prise au niveau de son dos. La douleur fulgurante n’empêcha toutefois pas l’ancienne juunin de réagir afin de sauver sa vie… ou du moins ce qu’il en restait. Elle ne voulait pas mourir. Elle n’avait aucune envie de laisser sa vie prendre fin aujourd’hui, malgré tout ce qu’elle avait pu penser auparavant. Elle voulait trouver des réponses à ses questions et elle ferait tout pour y arriver, parce que c’était vital. Même si elle ignorait pourquoi.

Dans un grognement de rage et de douleur à la fois, la jeune fille envoya un coup de pied, ramenant vivement sa jambe droite sous le ventre du prédateur et le repoussant d’elle dans un déchirement de chair à faire pâlir le plus aguerri des combattants. Elle se releva le plus rapidement possible et recula de son adversaire félin qui se redressait déjà pour happer sa proie qui avait eu l’audace de s’échapper de ses griffes. Elle sentait son propre sang dégouliner dans son dos et la douleur cuisante descendait lentement dans tout son bras.

Il prenait de nouveau appui pour lui sauter à la gorge, mais alors qu’il s’approchait et qu’Oni voyait déjà toute sa vie défiler devant ses yeux, avec, en dernière image, sa tombe comportant l’épitaphe :

« Oni UmaKaze, 17 ans, Mangée par un Chat »

Il se passa quelque chose d’inattendu mais de tout à fait logique : son pied glissa subitement alors qu’elle effectuait son ultime pas en arrière et elle perdit totalement l’équilibre. Incapable de se réceptionner, elle tomba dans l’eau glacée.

La rivière était profonde et agitée par tous les diables du monde. Son souffle coupé, elle se laissa submergé par les vagues d’eau qui lui passaient par dessus la tête et l’entraînaient indubitablement vers le précipice. Le liquide transparent se teintait de rouge. Elle n’entendit pas le plongeon du chat, et ne sentit aucune nouvelle morsure venir mais il était bien le dernier de ses soucis à ce moment-là. Une épaule en charpie, elle se contenta d’un seul bras pour essayer de nager, aussi bien que mal. Elle reprit une goulée d’air avant de repartir sous l’eau, ballottée comme une poupée de chiffon.

Et puis ce fut soudainement le vide.

La sensation de mourir qui vous saisit le cœur…

Elle tombait et ne pouvait pas lutter contre la pesanteur. Elle avait froid, gelée par les eaux qui l’entourait. Elle était plus faible qu’un poisson et ne pouvait strictement rien faire. La rivière prenait possession de son corps et il en résulterait uniquement de ce que les eaux voudront bien lui laisser… Son sang ne fit qu’un tour avant qu’elle ne ressente la douleur de la chute mais elle eut l’impression que cela avait duré une année, un siècle, l’éternité…

~

Elle ne pouvait plus bouger un seul muscle.

Il faisait noir et froid. Ses oreilles étaient bouchées, elle n’entendait rien. Elle recracha de l’eau avant de pouvoir reprendre à nouveau une respiration correcte. Elle sentait la terre sous son visage et l’odeur âcre du mucus qui y poussait par plaque. Elle ne désirait plus bouger, et se laisser mourir là. Il lui semblait qu’il n’y avait plus rien d’autre à faire.

Elle ignorait combien de temps elle était restée dans l’eau mais la rivière avait fini par la rejetée. Trempée, ensanglantée, courbaturée et bosselée de partout, Oni était allongée sur le ventre, les yeux clos et les dents serrées. Mourir allait être long et douloureux… Or, elle aurait réellement préféré mourir hachée menu par les rochers au pied d’une cascade plutôt que d’attendre là le retour du chat ou bien d’un autre prédateur attiré par l’odeur de son sang.

Elle ne voulait pas être mangée.

Cela pouvait se comprendre, non ?

Mais bouger était plus difficile en ce moment que de soulever une tonne si elle avait été en possession de toutes ses forces. Sa volonté bridée par le froid et la douleur, sa mélancolie toujours latente, elle avait bien envie de rester là et de voir ce que le destin lui proposera de nouveau pour la faire changer d’avis.

Et cela commença par le débouchement de ses oreilles.

Encore une cascade… Le son fut soudainement fort et peu agréable. Elle ouvrit faiblement les paupières mais elle ne la voyait pas. Elle ne voyait, dans le noir, que quelques arbres qui entouraient une sorte de petit lac ovale qui continuait en une rivière beaucoup plus calme un peu plus loin. Dans un soupir à faire flancher n’importe qui, elle tenta de se redresser.

Le froid avait engourdi tout son bras droit et avait momentanément ralenti l’hémorragie de la morsure et de son dos griffé. Elle se rendit compte qu’elle eut plus facile de se remettre sur son séant que ce qu’elle avait cru. Sa vue était trouble et elle se sentait prête à défaillir de nouveau une fois qu’elle eut fini mais après quelques respirations destinées à lui rendre son calme et sa tension, elle put admirer la cascade à laquelle elle tournait le dos quelques secondes plus tôt.

Son cœur manqua de s’arrêter totalement.

Elle l’avait trouvée !

Elle cligna des yeux et tenta de se relever totalement. Après plusieurs tentatives, l’une d’elle fut payante et elle put faire quelques pas vers les eaux qui s’abattaient violemment à une vingtaine de mètres. La paroi de la falaise qui se trouvait derrière ne comportait, à première vue, aucune entrée mais il faisait noire et on y voyait mal.

Elle se sentit soudain revenue dans son rêve, à s’approcher avec circonspection de l’entrée du temple étrange. Elle marchait d’un pas lent, peu assuré, et prudent à la fois. Elle se tenait l’épaule afin d’épancher le sang qui coulait encore sans quitter des yeux les aspérités de la roche. Elles se dessinaient un peu mieux au fur et à mesure qu’elle s’approchait et que ses yeux s’habituaient à la nuit éclairée par un petit croissant de lune.

Elle posa finalement sa main sur le mur et le suivit jusque sous les eaux bruyantes et dangereuses, évitant le plus possible leur contact alors qu’elle pénétrait par l’entrée dissimulée.

Elle y était finalement arrivée…

-Hayen-kun je suis content de vous rencontrer,je vous connais en tout cas pas pour vos qualités ninjas mais plutôt pour les qualités du joli Houkou à cinq queues,le maitre de l'illusion humpf...Mon regard le sait cependant si vous voulez vous battre,je suis votre homme ou plutôt votre femme en tant que ninja médeçin,je ne pense pas que vous résisterez à mes poisons et mes attaques plus que spéciale...

Quelle lenteur se déposa sur les plaines d'Ame, une sorte de sérénité tranquille mélangé à l'excitation prochaine d'un combat sans nul doute gagné d'avance, mais si important, si beau et léger. Hayen était toujours debout, ses yeux jaunes scrutait le visage fin de sa future victime, ses cheveux noirs, ses yeux profonds, tout cela lui firent penser à sa soeur... Une pression immense vînt serrer son coeur, plus fort que l'amour, semblait-il être un mélange de culpabilité et de peur. Oui par certains cotès, Hayen fuyait cette rencontre pour venir face à cette femme, dans le but évident de la tuer.

Son sommeil était lourd, et son corps semblait être entré en transe. Allongée sur le sol, le seul arbres des environs servait à protéger cette peau du soleil. La pluie s'était éteinte, sous le village partiellement détruit d'Ame, le soleil offrait ses rayons aux habitants encore en vie, et la chaleur dégagée n'était en rien désagréable. Hayen se complaisait à oublier ses soucis, dans l'air tranquille que lui offrait Ame, avant d'entamer un combat immense... Si prêt du village... Hayen n'avait nul peur, il tuerai le village si il le fallait, sa haine pour les humains n'était pas plus forte que toute personne doté d'une certaine intelligence, mais en réveillant Houkou, Ame ne survivrai pas à cette déflagration immense. Un véritable concentré de haine.

La jeune femme fût tiré de son rêve, ses yeux s'ouvrirent, des yeux sans dojutsu... C'était déjà un avantage. Elle était apparemment prête à se battre, l'était-elle autant à mourir ? Il y a des questions qui reste sans réponse. Puis ses llèvres se mirent à exprimer des paroles, si douce et compréhensive... Tant de naïveté sortait de sa bouche.

Hayen- Je suis bien aise que vous ayez connaissance du monstre qui m'habite, mais si vous n'aviez pas arrêtez là vos recherches, vous auriez sû que ma spécialité réside dans la médecine... Ecoute, je ne veux pas ta mort, tu es entrée dans cette organisation depuis peu. Je peux comprendre que ce combat est alléchant, mais je peux t'assurer que tu n'en sortira pas vivante, alors quitte cette organisation maintenant et ta vie sera sauve.

Hayen regarda la jeune femme, son visage ne trahissait aucune émotion, en vérité, le Jinruchiki se fichait du sort de cette manante, mais pris par le discours, il lui avais proposé la vie en échange de son honneur.

Le Katana noir était dans son fourreau, à la ceinture... Hayen posa sa main dessus et le tira légerement à l'aide du pouce, faisant vibrer le métal dans un son doux et agréable...

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Hayen a effectué la technique suivante:
Aucun effet n'est visible pour Hideyoshi pour l'instant qui n'a même pas conscience de l'activation de la technique.

Gen’kaku No Jutsu
Cout : 50 PC

Effets: L’utilisateur appose à la réalité une illusion en touchant les 5 sens de sa victime. L’illusion n’est pas fixe. Des éléments peuvent bouger, apparaître, ou disparaître. Le fait de s’affliger une forte douleur peut permettre de se sortir de ce genjutsu (encore faut-il se rendre compte de l'illusion, bien sur)

HRPG / bon je fais mon retour ici au lieu d'un pauvre combat qui ne vaut pas grand chose ^^

Un froid piquant s'était fait sentir dans un coin de la foret perdu , le corps de Kakuzu presque mort se trouvait dans cette endroit ou l'odeur du sang etait maître des lieu des milliers de fils sortant du corps du membre de l'akatsuki etait aperçus , ce dernier n'était pas encore mort loin de la , son premier coeur avait bien survécu du moins une partie de lui s'était comme régénérer , en effet l'assaut etait certe d'une grande puissance mais peut etre que l'organisme de kakuzu etait diffèrent des simple humain a ce qu'il croyait , il tenta de se relever afin de reprendre son chemin et rejoindre son organisation mais les membres qui lui servait de corps ne répondait plus , les stock de chakra complètement vidé , c'était dégoûtant et décevant , jamais il ne se sentait si vulnérable un sentiment de douleur l'avait pour la première fois pris le pouvoir de son corps , son physique imposant n'était plus que des fils disparaissait sur un vaste terrain vert humide , Kakuzu tenta par tout les moyen de reliée ses membres avec le peu de force qui lui restait il avait perdu beaucoup de ses capacités , il regarda sa main après heures d'essai rependre a ses nombreuse ordre il relie son cors du moins son torse , et bas du ventre pour fusionner avec les membres démunie d'âme , ses deux mains puis ses deux pieds ,il regarda ensuite sa bague de l'akatsuki toujours présente a son majeur gauche symbolisant une sorte de tigre blanc associé a l'élément de la terre , ceci fait il laisse tomber plusieurs fils en mauvaise état pour prendre dans son cors le reste des fils rouge allant vers ne noir sanguinaire , il se redressa pour se mettre droit , il chercha des yeux trois objet , une sorte de manteau noir à grand col orné de nuages rouges aux contours blancs ainsi que son chapeau de paille il ne portait pas souvent mais il le prit avec lui pour le mettre et cacher une grande partie de son visage , et en dernier lieu il mit sur son le haut de son visage son bandeau frontal barré du village de Taki , suivit d'une sorte de cagoule cachant tout sauf ses yeux noir au pupilles vertes , il refit quelques mouvement des mains pour se remettre en forme ainsi que quelques saut sur place , il avait toujours son air froid et calme il s'habit de ses vêtement pour ensuite se diriger vers une localisation inconnue pour avoir plus de victime cette fois ci il ne cherchait pas a gagner de l'argent ou autre mais bien a tué afin de pouvoir regagner son ancienne puissance et recontroller toute sa puissances , il etait bien capable de faire cela , il s'enfonce dans la foret au lever du jours qui etait accompagné d'un soleil rayonnant et un ciel éclatant au bleu azur , Kakuzu malgré la beauté du paysage resta sinistre il se contenta de chercher par ses propres capacité des shinobi pour les abattre , et déchiqueté leurs corps afin de réussir a comme se réincarner , il aperçus après 5 heures de recherches un groupe de shinobi détaché de villages , il n'était pas encore expérimenté , apparemment s'était de simple chuunin en mission en mission , peut etre qu'il venait tout juste d'être promus , il les regarde faire après les avoirs poursuivit et évaluer pour réfléchir a un plan , il etait parfait pour compléter sa collection d'affinité et l'aider a mieux se sentir , il bougea sa mains droite afin de lancer des fils noirs en les camouflant avec le terrain de la foret , les veine de sang ressemblait a de long fils infinie se rapprocher dangereusement des corps pour se diviser formant une sorte de racine d'arbre se faufilant dans le sol , doucement après la pause des shinobi il réussi a les entourer de ses fils , calmement il s'était comme assoupie laissant un unique garde guettant la venue d'un ami ou les prévenant d'une éventuelle attaque contre eux .

L'attaque de kakuzu etait silencieuse ne permettant en aucun cas a l'ennemie une chance de s'en sortir ou se défendre , tout etait bien calculé et synchroniser pour rendre la situation que plus facile pour le membre de l'akatsuki trois des quatre shinobi etait complètement enrouler de fils noir , qui n'était pas encore serrer , mais l'étouffement de ses derniers en silence avait bien débuter , le ton sinistre cupide de kakuzu etait toujours en marche il fixe ses victimes pour els immobiliser , le garde reviens sur ses pas pour demandé appartement a un autre ninja de venir prendre sa place pour se reposer , il se rapproche doucement de pas lourd pour s'arrêta choqué a quelque mètres de leur coin de repos il regarda a gauche puis a droite pour se retourner et apercevoir un nombre fou de fils noir qui aussitôt sa tête en arrière le transperce comme des lame d'épée ou des aiguilles a une vitesse folles il réussi toute fois a prendre son corps pour réformer les masques et sceller en quelques sortes dans ce dernier , il prit els corps des autres shinobi mort abattu en sang , déchiqueté de tout part , laissant voir un trou dans le dos au niveau gauche les coeur etait arracher de sang froid de leurs corps , le membre de l'akatsuki a la bague Hoku se redressé pour reprendre son ton habituelle , il etait tout fois en forme après une telle réussite en une journée , il regarda le ciel pour partir dans le sens contraire , il s'arrêta après quelques pas pour revenir sur ses pas , en effet ce n'était pas digne de lui de perdre ses habitudes , il s'avance vers ses victimes en piteuse , il s'inclina avec son corps bardé de cicatrice , et son dos remplit de masque ressemblant au Lion pour Katon, le Taureau pour Raiton, l'aigle pour Fuuton, et un autre pour le suiton , la dernière affinité doton était propre a lui il pouvait durcir son corps ou ses membres pour les rendre dur comme le métal , il descendit doucement au niveau des corps caché entre les arbres pour les dépouillé de leurs agent et autre objet intéressant et de grande valeur pour reprendre une secondes fois son chemin .

" Je me demande ce qui est devenue l'akatsuki je pense que le repère n'a pas changé après la dernière attaque de ses shinobi rependant a des règles stupide , je compte bien prendre le boulot pour gagner de l'argent sans cette idiot de Hidan croyant en des choses aussi bête que lui et une religion sans aucune importance , il m'a bien servit pour gagner de l'argent et faire grossir le nombres de mes ryos je crois que je ne peux plus me séparer de cette vie ressemblant a un chasseur de primes c'est tellement intéressant mais bon je dois retrouvé mon chemin qui je crois n'ai pas loin de ma position actuel "

Kakuzu continue son chemin pour arrivée au soleil couchant devant le repère de l'akatsuki en haut de la falaise , Zetsu qui avait pour habitude de prévenir ses coéquipier ou els recevoir n'était pas présent , même pas Hidan qu'il détestait tant mais qu'il aurait voulut revoir rien ? aucune choses , aucun etre aucun membre de l'akatsuki , le déserteurs s'avance vers l'entrer pour composer des signes des mains et ramper une sorte de sceaux puissant empêchant tout ninja de l'approcher du moins il etait asse spéciale , une grande boule faites de terre commence a bouger pour se décaler , le ninja pénètre a l'intérieur pour y trouver personne , il etait tous passé ou ? du moins quelle était leurs projet ? il chercha pour fouiller chaque recoin après s'être assurer qu'aucune personne ne l'avait suivit pour trouver un dossier du moins une feuille parlant d'un membre absent depuis plusieurs jours , une fille charmante qui ne s'était pas encore prononcer , Kakuzu prit la feuille pour l'étudier et pouvoir par la suie la rejoindre elle semblait intéressante et pouvait lui servir pour atteindre quelques choses de ses butes personnelle, sans perdre de temps ou continuer a chercher , le membre de l'akatsuki ressort après fermeture du sceaux et scellement de l'entrer , il saute sur le haut de la falaise ou le reste d'une montagne detruire pour débuter son voyage .

Kakuzu ne voulut concentrer beaucoup de chakra il vérifie son équipement et autre parchemin pour sauter sur un arbre et commencer son voyage , la route etait simple a prendre se dirige vers le s frontières du pays du feu pour se diriger vers le nord est de sa position , il traversa la la foret et la végétation verte sans grand probleme , il continue avec le même rythme pour s'éloigner rapidement de sa cachette , le voyage etait certe long et pénible mais l'opération etait déjà lancer , il s'avance avec une grande motivation pour sentir la douce brise du vent souffler sur ses cheveux caché en partie par son masque de fer laqué rouge en forme de visage de corbeau , divers senteur etait inhaler celle de plante médicinal , fleur ou autres , cela etait si paisible et agréable a vivre , même envoûtant , le membre de l'akatsuki décida par la suite de prendre une route peu commune pour gagner du temps elle etait sur et moins pénible a supporter , il semblait connaître le terrain mieux que personnes après un jours de course a une vitesse folle les frontière du pays de la foudre etait aperçus a quelque centaines de mètres , il pénètre a l'intérieur sans grand probleme pour traversée des route inconnue pour lui il connaissait grâce au plan dérober au village ninja la position du village mais aussi contrôlait en partie par cette organisation qui rien d'autre que l'akatsuki , il continue sa route en ayant le même projet en tête retrouvait une jeune fille qui etait bien charmante et prendre de ses nouvelles , du moins la retrouver et savoir si elle etait en vie , c'était tout de même une meurtrière de l'akatsuki du moins c'est ce qu'il croyait , le possesseur de Hoku ne voulut perdre son temps il chercha tant bien que mal a l'extérieur du village se trouvant dans le pays de la foudre , au nord de sa position , au sud , est ouest rien elle etait introuvable , avec aucune trace , elle se trouvait ou ? une chaîne d'arbre du moins un terrain remplie de végétation verte etait aperçus a une centaine de mettre de sa position actuelle , pour ne pas prendre de risque Kakuzu crée un clone ce n'etait pas dans ses habitudes de ne pas se jeter dans des situation difficile mais peut etre que ce clone la allait l'aider a mieux chercher et sans trop gaspillé de chakra , il regarde a gauche puis a droite toujours en restant prudent et ne pas faire savoir a l'ennemi qu'il etait repérer du moins un nouvelle victime puissante devait etre programmé les coeurs de ninja prit etait certe fort mais pas digne de remplacer ses anciennes capacités , le village de Kumo semblait regorgeait de puissant ninja plus au moins expérimenté une chasse a l'homme s'imposer en compagnie de l'autre membre de l'akatsuki du moins si elle etait de cette avis et que ses pensée similaires ou se rapprochaient de celle de Kakuzu , une heureux s'était écoulé de son coté le clone n'avait rien trouver , le déserteur de Taki saute en un seul coup sur l'arbre le plus haut du terrain pour tenter de retrouver une route qui pouvait le mener vers cette fille .

Il vit un homme portant les habit officielle de Kiri du moins le bandage laisser voir qu'il etait originaire de ce village , il lui suivit des yeux pour analyser ses mouvements pour tenter de reconnaître son niveau une sorte d'évaluation d'une manière propre a lui , d'après divers indices dont le s'habit la démarche et la façon d'agir le shinobi liée a des règles stupide d'un village sans aucun but etait d'un grade supérieur a Anbu peut etre Juunin d'élite ou autre le seul moyen de le savoir s'était de le suivre ou l'affronter , par conséquent sa mission première etait mis de coté du moins pour le moment, il sauta par la suite d'arbre en arbres prudemment ne laissant aucune trace de son passage dans l'ombres des arbres telle un chasseur tentant d'abattre sa proie , ni bruit ni aucune chose ne laisser voir cela , l'expérience acquise dans les divers combat pour gagner de l'argent devait etre rapide afin d'en récolter plus donc cette situation n'était guère nouvelle pour le membre de l'akatsuki , il continue a le guetter de loin pour s'arrêter subitement , les dires prononcer par le shinobi etait une bonne nouvelle , il s'adressera une personne qui s'était isoler dans un coin en tant que membre de l'akatsuki , c'était la jeune fille connue dans cette organisation par conséquent la courte poursuite avait portait ses fruits , du moins le but etait atteint , un deuxième plan et stratégie etait mis en place rapidement par Kakuzu afin de pouvoir continuer sa quête il descendit de son arbres sans peur ni ne laissant apercevoir aucun actes d'agressivité envers les deux personne se trouvant en face de lui juste a quelques mètres , il prit a son tour sa parole pour dire d'un ton froid , serieux et calme en s'adressant en premier lieu a la jeune fille du moins après s'être réveiller , il sauta comme prévue sur un arbres en sautant le vent souffler sur sa cape noir ornée de nuage rouge pour s'arrêter et continuer a entendre par l'intermédiaire de son clone du moins une simple vision sans grand pouvoir qui lui laisser la chance de lire sur les levres ou bien lui transmettre les dires , apparemment la personne en face d'eux etait un jinchuuriki voulant tué la fille ou bien lui proposer de quitter l'organisation dans les deux , l'un des trois shinobi présent allait sûrement mourir , les dires du prénommé Hayen etait bizarre et froid montrant un léger sentiment de pitié ? choses impossible a imaginé selon Kakuzu de la pitié envers un membres de l'akatsuki cela etait une insulte et accepté une telle offre etait pure lâcheté , une telle chose n'avait pas besoin d'une réponse l'organisation n'était pas un simple regroupement de vulgaire ninja elle avait ses but et ses principes quand on s'y engage ce n'est pas pour sortir lâchement sans combattre , kakuzu etait l'un des plus vieux ninja existant a l'akatsuki et ne pouvait permettre cela , il crée un simple clone standard pour le lancer a l'assaut et rester en retrait afin de débuter une sorte de synchronisation de techniques et divers préparation afin de débuter un combat déjà engager par les divers composition de signes , leurs effet etait encore inconnue cela etait juste transmit par un clone qui allait sûrement etre sacrifier , si on compter a présent bien en plus du clone crée au début des recherches il y en avait trois , un a l'assaut , un autre restant pour observer le troisième cacher , il ne fallait pas perdre dans ses plan qu'il pouvait a tout moment affronter els deux il ne connaissait point la fille et cela risquait de le surprendre a tout moment , ne pas foncer dans le tas sans etre sur des réaction des autres ses ennemis et allié du moins en général on se jette pas dans la gueule du loup , Hayen etait maître de genjutsu un expert unique des divers illusion de toute sorte l'affronter directement serait pure folie , il fallait par conséquent trouver une bonne stratégie pour le moment l'isolement etait la meilleur choses a faire , prudence et analyse etait les critère de Kakuzu pour l'instant l'un de ses clone cette fois ci s'avance par derrière doucement sans attaquer juste parler et analyser pour en savoir plus sur la situation en gardant son tonde parole habituelle et sa façon d'agir qui ne changera jamais

" Bonjour a toi fidèle de l'akatsuki j'étais venue a ta recherche tu n'as pas donné de tes nouvelles et j'ai des choses a te dires seul a seul si tu le veux bien , je préfère garder mes information et but ou mission pour moi et toi au lieu de les partages avec un vulgaire shinobi de Kiri obéissant a des règles stupides et suivant des chef sans aucun but , bien triste pour eux , n'est ce pas jeune homme ? je ne vous ai jamais vu encore moins connue vous sembler etre l'un des plus haut gradé de Kiri si je me trompe pas ? que faites vous ici ? tenter de tué une fille pleine d'énergie ou bien autres choses ? vous êtes aussi Jinchuuriki voulant apparemment sauver des membre de 'l'akatsuki parte d'ici et laisser cette personne en paix "

Dit il en gardant sa même position et prêt comme a son habitude a se défendre ou abattre n'importe quelle agresseur , tenant d'une main un dague noir de l'autre sortant des fils ressemblant plus au moins a des vaines sans laisser cela dépasser de sa cape il fixa les deux ninja en attendant une réponses il avait tout de même enlever son chapeau ce dernier n'était vu que rarement si c'était jamais sur la tête de Kakuzu a présent en face de deux situation et un shinobi plus au moins inconnue , l'atmosphère etait cependant paisible rien de tendu entre les shinobi a part quelques question et interrogation sur les raisons de leurs apparition sur ces lieu mais aussi sur leurs pouvoirs respecté , chaque choses en son temps les présentation puis les question pour ensuite suivre avec un combat ou bien se diviser chacun de son coté après avoir eut une petite conversation qui ressemblerait plus a une rencontre .

Alors, par quoi allons-nous commencer l’histoire de notre petite jument blanche ? Comment allons-nous entamer ses folles aventures ? Et quelles seront ces aventures ? C’est ce que vous découvrirez bientôt si vous suivez son périple, si vous suivez les différents épisodes…

Dans le prochain épisode ? Hm… Que vas-t-il se passer ? Suspense et boule de gomme !

Le soleil était levé. Bien sûr, il n’y a pas de désert sans soleil, pas vrai ? Comme il n’y a pas de fumée sans feu ou d’amour sans papillons ! Vous ne comprenez pas ? Moi je me comprends, c’est l’essentiel. J’adore la sensation du soleil sur ma peau de pêche, qui la réchauffe de cette froide nuit. Ouais, mes draps se sont encore barrés quand je dormais… Faudrait que je me calme quand je dors, c’est à croire que je me débats contre les pires démons qui soient. J’ai une fois retrouvé ma couette à l’autre bout de la pièce ! Bon, okay, je l’avoue, ma chambre n’est pas grande, elle est même petite… Mais quand même ! Faut le faire, non ?

Revenons en au fait… Salut, j’m’appelle Oni, j’suis pas une fille normale ! Quoi, vous vous en doutiez déjà ? Rofl ! Vous n’êtes décidément pas drôles ! Non, je suis pas en train de vous lire une page de mon journal intime, qu’est-ce que vous croyez ? Hm, en fait, vous croyez ce que vous voulez, j’suis pas là pour vous dicter votre façon de penser ! J’aime bien les gens moi, j’suis pas une chiante qui s’impose, j’suis plutôt une chieuse qui s’immisce ! Si si, y a une différence.

Je vis à Suna, dans un coin un peu… trop normal et trop banal pour être décrit. Les maisons, c’est pas drôle à décrire, c’est qu’une boite dans laquelle on dort de temps en temps, on mange et on étudie ses parchemins. Ah ça, oui, je lis beaucoup. J’adore me tenir au courant de ce qui se passe, même si ces derniers temps, je suis un peu à la masse côtés nouvelles du village. Mais bon, j’irais faire un tour en ville et je me mettrai au courant de tout ça ! Pour le moment, c’est mon instant fétiche dans mon lieu préféré : Le toit de ma p’tite maison.

Idéal pour réfléchir, se réveiller ou tout simplement se reposer un peu en rêvant dans les éventuels nuages présents dans le ciel de Suna, cet endroit, c’est mon paradis à moi. Je ne supporte même pas qu’il y ait un oiseau sur mon toi. J’suis possessive ? Mouais ! Peut-être ouais, et alors ? Qu’est-ce que ça peut vous faire ? Vous ne comptiez quand même pas venir vous percher sur MON toit ?!

Bon, aujourd’hui, je ne sais pas quoi faire encore… Peut-être aller chercher du boulot, mais j’ai bien envie de commencer mes aventures par une journée de délire. Coupler boulot et délire, c’est pas top. En même temps, me faut des sous ! J’n’ai plus de sous… Enfin si, un peu. Mais pas assez. Okay, le but d’un ninja, ce n’est pas les sous >< ! C’est de protéger son village et tout et tout, mais faut bien que je mange ! Et quand on travaille, c’est pour protéger le village, généralement…

Quoi j’ai une vision des choses bizarres ? Mais non ! Je suis protectrice de la veuve et de l’orphelin, ne vous inquiétez pas ! Je punis les méchants et tout et tout. D’ailleurs, j’ai l’impression parfois d’être différente des autres. Je ne connais pas la vie des gens, mais la mienne… Je ne sais pas, elle est différente ? Peut-être, qui sait… Si j’ai une destinée, elle se présentera bien assez tôt, croyez-moi.

Ma phrase fétiche, c’est « On verra bien ».

Bah oui, parce que personne ne peut exactement préciser ce qui se passera demain ou dans un mois, j’vous parle même pas des prévisions portées sur six mois !

Fiou… Faudrait quand même que j’aille voir si on n’a pas b’soin de moi dans un coin du village, genre… A la tour ou dans le centre. Mais à la tour d’abord.

Bon allez, miss ! On se lève. On époussette sa jooolie tenue noire. J’adore ce genre de vêtements. C’est ample pour faciliter les mouvements, et en même temps, c’est bien serré au niveau de la taille et du haut. Bon, c’est parfois un peu trop moulant… Bah oui, j’deviens femme, ma poitrine a grossi… Et ça attire parfois le regard des mecs. J’suis assez bronzée en plus donc voilà… Les mecs ont souvent un regard sur mon intimité ronde à peine voilée. Et je fais pas grand-chose pour les en dissuader en fait. J’ai jamais eu de petit ami (et non, ce sont tous des lâches !) mais je sais même pas si j’en veux un. J’ai pas le temps. Enfin bref.

J’ai attaché mes cheveux sombres en une queue de cheval. [Délire HRP : « Cheuuuhvaaal »] Mais plusieurs mèches volent encore le long de mon visage, certaines cachant un p’tit peu mes trop jolis yeux. Ouais, je sais que je suis belle, et alors, c’est mal ? Meuh non ! Ca veut juste dire que je sais me regarder dans une glace ! Et que les garçons n’ont pas leur regard dans leurs poches quand je passe dans les rues… C’est pas ma fauteuh !

Bon je vais cesser de hurler ça un peu partout et je vais me mettre en route, hein ? Où qu’il est, mon katana ? Ah, dans mon dos… Ouais, parfois je suis une vraie tête de linotte. Mais c’est rare… ‘fin… voilà quoi… Allez ! En routeuh ! On est sur ses p’tits pieds, on saute dans la rue et on se dirige vers le centre ville, histoire de… faire une promenade avant de passer aux choses sérieuses ? Allons donc ! Mais non ! On va tout droit chercher un truc à faire ! Et p’tet à manger, l’estomac gargouille !

-Humpf,p'tet que je n'ai pas de dojutsu capable de contrer ton joli petit copain le chien mais mon ami Kakuzu ici présent à la faculté d'avoir 5 coeurs comme tu doit le savoir cependant,je n'ouvres jamais les yeux,je n'en ai pas du tout besoin donc tes dojutsu sont facilements parables mon ami...

Hayen observait cette jeune femme... Aucune peur ne ressortait de son beau visage, seulement une sorte d'arrogance melé à ce désir inexplicable de vouloir se battre. Pourtant, ce n'était pas un combat qui attendait l'Akastuki, mais une véritable hécatombe. Hayen ne s'était jamais vanté d'être le second shinobis le plus puissant du monde terrestre, comme pour tout le reste, sa puissance le laissait de marbre... Mais l'appât n'avait pas fonctionné. Hayen s'imaginait Tobi en train d'observer la jeune femme dans la sphère des Kages, et il éspérer qui lui vienne en aide, mue par le désir sexuel et la sur-estimation de ces pouvoirs. Mais Tobi n'était peut être pas un pervers, ou bien n'était-il pas à Ame...

Hayen décida d'employer pour la première fois la réel puissance d'Houkou... Son adversaire avait fermé les yeux, Hayen ferma à son tour les siens, son esprit appela inconsciemment le monstre sommeillant en lui. C'est quelques instants plus tard qu'il trouva réponse, Houkou consentît à libérer un peu de sa puissance. Hayen avait su le convaincre...
Ainsi, l'on pu voir dans les plaiens d'Ame, un nouveau chakra envahir le corps du Jinruchiki, la première queue venait d'être libérer... Celle du raiton. Hayen sentît monté en lui un courant éléctrique, quelle puissance envahissait son corps, toute cette énergie! Il fallait pouvoir supporter un tel don. Même sans vision, l'air s'était chargé d'éléctricité, l'ambiance s'était soudainement alourdi. Pourtant Hayen ne semblait pas avoir changer. Son visage arborait un sourire carnassier, une partie d'Houkou avait été assimilé par l'esprit d'Hayen... Ainsi il était dangereux de faire trop souvent appel à cette puissance obscure.

Hayen utilisa une technique d'espionnage, il s'apprêttait à utiliser la plus puissante technique Genjutsu jusque lors jamais dévoilé... Qu'elle grossière erreur que de croire que sans vision, le Genjutsu ne peut plus être utilisé... L'illusion touche les cinq sens... L'air se remplit d'éléctricité, et Hayen pu découvrir la préscence de Kakuzu... Hayen réagit de suite en conséquence. Il utilisa le genjutsu pour tromper Kakuzu.
En effet, le pauvre homme de l'Akastuki croyait se trouver sur un arbre, là où il n'y avait que plaines et fleurs. Action... Réaction, Hayen lui fît croire qu'il usa d'un clonage, sa vue et son esprit trompé, il crût avoir trois clones de lui et c'est avec aisance et assurance qu'il vînt se présenter aux devant de sa mort prochaine...

La jeune femme parla de nouveau, ses paroles apaisèrent le monstre. Elle ne voulait pas se rendre... Au fond, il était trop tard pour se rendre, Houkou n'accepterai pas d'avoir été réveillé pour un futile combat, il lui fallait un meurtre... Triste destin que de vouloir tenter la mort à son propre jeu. Qu'il en soit ainsi, Hayen avait dans un élan de générosité proposé à la femme de rester en vie. Mais comme pour les autres membres de l'Akastuki, elle se croyait puissante et invincible... Quel inconscience animait ces gens ? Tous aussi stupides que de faibles adolescents incapable de réfléchir au sort prochain de leur vie. Celle de la jeune femme serai juste un peu écourté...

Hayen- Hahahaha... Crois tu que fermer les yeux suffit à s'échapper d'un genjutsu ? L'illusion touche les cinq sens petite... Tu manque beaucoup d'expérience. Ainsi, le fameux Kakuzu est venu me voir ? Assassin de Nidaime n'est-ce pas ? L'akastuki n'a plus sa place en ce monde! Votre fin est arrivé...

Le comportement d'Hayen changeait... A une queue, il arrivait à contrôler ses dires et sa volonté, mais sa voix était devenue beaucoup plus grave et profonde, et il avait absorbé l'arrogance d'Houkou...

Hayen- N'oubliez pas à qui vous avez à faire... Moi, Houkou, l'un des bijuu les plus puissants, mettrez terme à votre vie.

Pourtant, déjà le Bijuu semblait prendre ascendant sur Hayen... Il devait en finir vite, sinon les queues se libéreraient une à une et Houkou se ferai un plaisir de rayer Ame...

Les paroles terminés, Hayen disparu... Il venait d'utiliser une technique usant de magnétisme pour se déplacer derrière la jeune femme. Celel-ci ne remarqua rien... Le genjutsu utilisé en début de combat laissé croire à la jeune femme qu'Hayen n'avait pas bougé. C'est donc avec légéreté et facilité qu'Hayen dégaina son katana et trancha la tête d'Hideyoshi qui n'avait rien pu faire... Hayen sourit et reproduisit une seconde fois la même technique... Son corps disparu et réaparrut aux cotés de Kakuzu... Il planta son katana noir dans un des cinq coeurs du membre de l'Akastuki. Le combat était entamé et l'Akastuki n'avait pas le niveau de vaincre Hayen...

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[HRP: Je ne comptais pas te faire croire que tu avais fait des clones alors qu'il ne s'agissait que d'une illusion de ma part... Mais ca t'apprendra à pas lire mes belles descriptions na! J'ai bien précisé dans mes deux posts qu'il n'y avait aucun arbre à l'Horizon, donc j'en déduis que tu m'a toi même offert une illusion pour toi.
Et si tu compte plus de deux techniques utilisé et trop d'actions, c'est tout simplement parce que deux contre moi, les règles ne sont pas les mêmes.[/HRP]

Voilà les deux techniques utilisé:

Denpa -
L'utilisateur diffuse un champ électromagnétique sur une zone étendue, ce qui le rend capable de percevoir les troubles magnétiques dans l’air. Il parvient ainsi a saisir les conversations de la personne de son choix dans un rayon de 500M. La personne effectuant cette technique ne peut être surprise par la présence de quelqu’un durant les heures qui suivent, elle peut dont ressentir la préscence d'un shinobis sur 500 mètres..
PC: 40
PT: 40

Description::
Technique de déplacement sur très courte distance utilisant le principe
du magnétisme. L'utilisateur envoi un courant électrique dans son
environnement pour créer une sorte d'aimant puis en crée un second à
l'intérieur de son corps avec des polarités inversée. Ainsi, il est
repoussé sur une courte distance pour, par exemple, éviter un coup. Ne
nécessite pas de signes. (necessite afiniter Raiton)
Nom :: Idoujiba no jutsu
Nom de l'attaque ::
Coût PT :: 55 PT
Coût PC :: 30
Degât :: aucun

Le temps pressait de plus en plus, et dans ce temps, il y avait un défaut nommé Hayen. Il gênait de plus en plus Sasori, son existance ne devrait pas avoir lieu, c'est pour cette raison que le marionnettiste allait mettre fin à sa vie misérable. Le membre de la lune rouge perçut que son chakra n'était pas le même que celui de la dernière fois, celui qu'il avait maintenant était beaucoup plus puissant, telle celui d'un des 9 démons. Le shinobi ne parlait pas, mais courait à toute vitesse avec sa marionnette Sandaime Kazekage.

Rapidement, Sasori vit un homme, il était Hayen, il donnait beaucoup de fil à retordre au membre de la lune rouge, mais le marionnettiste s'apperçu que Kakuzu n'était pas seul membre de la lune rouge, il y avait aussi une femme, il était donc a nos côtés, mais même à deux, il n'arrivait pas. Mais les pensées devaient être oublié, et l'attaque devait avoir lieu lorsque Hayen passa à l'attaque ...

Ce dernier attaqua la femme, et sans réfléchir d'avantage, Sasori s'en alla la protéger, un allié était précieux dans ce genre de situation. Alors que le membre de la lune rouge était derrière Hayen, il créa un énorme pique de sable de fer, puis rapidement il le projeta de haut sur son nouvelle adversaire, qui connaissait la position de Sasori du à sa technique. Mais cette attaque était censé faire reculer Hayen, et non pas le tuer. Du moment que tout le monde allait bien, et en état de ce battre, tout allait pour le mieux. Akasuna no Sasori attendit alors la réaction de son adversaire, il y aurait peu de chance que le bloc touche sa cible ...

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Akasuna no Sasori : 1030 PC
Saidaime Kazekage : 1425 PC

- Le pique de fer
Description : A partir de ses limailles, Sandaime Kazekage créer un énorme pique.
Cout de chakra : 75 PC

Marre... D'accord, le pique de Sasori arrive vers moi même si je suis déjà plus derrière la fille que j'ai tué et je vais l'esquiver sans avoir pu tuer la fille.

Maintenant je voulais vous offrir un beau combat pour votre mort, vous irez vous faire fouttre. Entre ceux qui ne lisent pas les descriptions (parce que les arbres sont tout a fait cohèrent... Mais c'est ton esprit d'analyse qui n'est pas assez développé... La forêt est à notre droit et elle est assez loin de nous, je n'ai peut être pas décris mon voyage de la forêt à la plaine, tout comme je n'ai pas décris mon voyage de Mihanasu à Ame, mais il me semblait que c'était évident.) Et ceux qui font n'importe quoi.

On brise l'ordre des posts, je vais poster maintenant tout de suite. Nous nous sommes donc mis d'accord avec Sasori, nous sommes à cinquante mètres d'Ame (grave erreur pour vous mais bon...)

Tu veux que je reposte ou quoi ?? je viens de dire quelque chose, tu dois le prendre en compte ! A part si tu veux faire de toi un mauvais rpiste.

Alors je vais le redire, nous sommes a 200 mètre de Ame, mais si cette distance est parcouru a grande distance, elle est parcouru facilement.

De plus, c'est toi qui a parler de 50 mètres, pas moi, donc pourquoi tu racontes n'importes quoi ? Tu as peur que ton Hayen meurt, c'est ça ? Tu crois que ça fait plaisir a l'akatsuki de devoir perdre leur perso ? et bin non

Je rêve là ou quoi ?

Je suis gentil, je te laisse faire une action complètement irréalisable à la condition qu'on soit à 50 mètres d'Ame sinon c'est encore plus impossible et tu ose encore venir protester ?! Mais tu cherche quoi là ?

Moi j'ai pas peur de perdre Hayen, d'une parce que vous n'avez pas le niveau pour le tuer, et de deux parce que même si je devais le perdre j'en referai un autre et pis c'est tout...

Attend, deux cent mètre, j'ai pas l'impression que tu te rends bien compte... Le temps que tu ne vienne j'ai largement le temps de tuer la jeune fille, sachant que le magnétisme ne dure que deux secondes, et que le temps que je tranche la tête ne met que 10 secondes.

Alors tu arrive en 12 secondes à faire 200 mètres et en plus me balancer un pique de fer ?! et après c'est moi le super-man... Non mais je rêve...

A moi de poster. Bon, vous deux, vous vous calmer, vous oublier ça, vous ne pensez plus qu'au RP, merci.

Hanzou suivait Sasori qui avait déjà préparé, pour le combat, l'une de ses multiples marionnettes : l'ancien Kazekage. Ce dernier semblait avide de pouvoir se battre, et semblait assez sûr de lui, mais Hanzou, lui, semblait attentif au moindre détail, à la moindre touffe d'herbe qui bougerait un peu trop par rapport aux autres... Il semblait tout aussi confiant, mais savait que l'étrange chakra noir qui résidait en ces lieux n'était pas un effet d'optique dû à la pluie qui tombait toujours...
En s'inspirant de Sasori, le Sannin de Ame décida d'appeler, lui aussi, une de ses salamandres pour être prêt dès la première seconde, à la vue de l'homme à l'étrange chakra qui semblait être leur ennemi...
Son pouce droit saignait toujours, le raptor avait disparu, et Hanzou commença une série de signes, et posa ensuite sa main droite à terre.

Hitsuo, la déesse salamandre!

Une gigantesque Salamandre apparut, poussant un hurlement qui fit trembler tout le village et ses alentours, créant une rafale de vent qui déstabillisa un moment les ninjas qui stationnaient aux portes du village.
Hanzou monta sur sa tête et se partit en direction du lieu du combat, qu'il apercevait facilement de là-haut.
En même pas une minute, il se trouvait là-bas.

Sur les lieux, Hanzou regarda fixement l'homme au chakra noir... De ses petits yeux ronds et rouges...
Par une petite tape sur la tête de la salamandre, celle-ci se mit à ouvrir son immense bouche béante, et de là jaillit un véritable raz-de-marée qui inonda le terrain d'une grosse vague...

Content de te connaître toi là-bas... Enfin, si c'est ce qu'on appelle "connaître".

Hanzou était devant un être étrange, il le fascinait, mais ne le laissait pas voir...

J'en ai marre de parler avec toi, et encore plus de toi, fais comme tu veux.

Pourquoi tu as effacer mon poste -_- ?
On a pas le niveau c'est sa ? tu créerai un perso avec les même pouvoir pour continuer comme si qu'on avait rien foutu c'est sa ? On a des rp noob c'est sa ben oui si on ne peux pas te battre c'est qu'on est nul en stratégie ou nul en rp ou autre ou tous si on vois ta façon de parler
tu es chiant je veux plus rp tu peux me tué si tu veux au diable .........
Non mais vraiment tu as vu comment tu es réagis après tu nous dis amuse vous bien .tss.. Pourquoi supprimer mon poste -_-

Ps : je fais une petit capture d'image de se poste histoire d'être sure de ne pas le voir etre supprimé ^^

[HRP: Le post que je vais effectuer est complètement abusé, même si j'en ai les pouvoirs, jamais je n'aurai fait ça en temps normal. Mais bon.[/HRP]

Hayen n'était plus dans son étât normal. Houkou se manifestait dans chacun de ses gestes et chacune des ses paroles. Le katana noir, par un mal inexplicable avait raté son offensive. A dire vrai, Hayen connaissait l'emplacement de nombreux ninjas autour de lui, il savait aussi que plusieurs d'entre eux viendrai perturber son combat... L'intelligence combiné d'Houkou et d'Hayen n'avait eu aucun mal à tromper les cinq sens de la majeure partie des Shinobis présents à Ame. Réunion d'humaine aux portes, d'autant plus facile pour le bras droit d'exercait sa terrible fureur.

L'illusion était présente tout autour de lui. Tous les ninjas dans un rayon de deux cents cinquantes mètres était sous l'emprise de ce terrible genjutsu. Faible être humains, dans le monde des illusions, Hayen était maître, jusqu'à maintenant, la réalité avait été recopié en tout points. La plaine, l'air, la vie, le souffle que dégageait chacun des êtres présents. Mais en vérité, tous était dans un monde imaginaire.

Hayen regarda Hanzou invoquer sa salamandre. Terrible animal, si puissant... Un raz de marrée vînt envahir le terrain. Hayen sourît puis, d'un claquement de doigts, supprima l'eau présente. Si les ninjas présent se posaient des questions il en était rien par rapport au reste... Le décor s'écroula soudainement, impossible... L'esprit humain qui se pose des questions et tente de rejeter ce qu'il croit voir au moment même. Dans l'incapacité de réagir, tous les shinobis présents aux portes d'Ame et dans ses environs fûrent soudainement paralysé par une force incontrolable.

L'obscurité s'installa peu à peu, laissant les ninjas en proie à un chaos incompréhensible. Hayen se mît à parler, découvrant son pouvoir.

Hayen- C'est trop d'honneur que de reçevoir de si prestigieux ninjas dans mon monde. Un petit verre ?

Le visage narquois, un verre de cristal apparût de nulle part et se dirigea vers Sasori en volant. La marionnette dû prendre le verre, sa main était régit par une force incontrolable. Pour la première fois, Sasori dû se sentir manipulé. Il bût le récipient et s'écroula sur le sol. Il était encore conscient et pas encore mort, mais son corps était vidé de tout chakra et sa mort ne saurai tarder.

Hayen- Houkou... Calme toi, je ne désire pas la mort de chacun.

Ses paroles dîtes, un feu brûla entièrement le pauvre Kakuzu et ses cinq coeurs. Son corps s'écroula sur le sol, méconnaissable, étrangement maquillé par les flammes.

En dehors de l'illusion, on pouvait voir tous les ninjas d'Ame inconscients sur le sol, et Hayen assis. Tous avait quitté momentanément la réalité pour venir dans ce monde régit par leur subsconscient, désormais sous l'emprise terrible d'Houkou.

Hayen- Il est incorrigible cet Houkou... Enfin il n'aimerai pas que je le traire comme un chien... C'est marrant mais il a une très haute estime de lui même, enfin c'est normal pour l'un des bijuu les plus puissants. Il a perdu face à Kyuubi mais on le déclare troisième, alors qu'il n'a jamais combattu le gros serpent. Enfin... Je pense qu'il va se contenter de quelques mortes parmis vous tous.

Plusieurs épées firent leur apparition, du néant toute matière sortait. Apparemment, l'esprit taquin d'Hayen s'était fait explusé par Houkou. Le monstre allait en finir une bonne fois pour toute avec ceux qu'il jugeait non digne de vivre.

Ainsi, l'on put voir de belles épées argenté se présenté devant chacun des shinobis présent. Les lames se mirent face à leurs victimes, en position de tuer. Et elles rentrèrent dans le coeur des ninjas. Tous ceux qui auraient leur nom ici s'écroulèrent sur le sol invisible, privé du bonheur de vivre...
Hanzou, Yamada, Eikichi, Hido, Ginji, Satsubatsu, Hideyoshi. Ceux-là, Houkou les avait jugé indigne de leur vie. Leurs corps tomba, laissant les lames argentés à l'intérieur de leurs coeurs flétrit par la mort.

Hayen sourit... Houkou venait d'apaiser sa colère, les autre shinobis resteront vivants. Mais Hayen put capter les pensées d'un jeune ninja... Son subsconcient transmettait des paroles à propos de sa mort, de ses désirs... Bref, des trucs banales. Ce qui l'était moins par contre, c'est le nom des Uchihas qui revenait sans cesse... Hayen cessa de sourire, interloqué, il observa les ninjas paralysé. Bientôt la source d'un nouveau pouvoir fût dévoilé. Son corps disparu pour réappaître face au jeune Uchiha

Hayen- Ah! Quel incapable cet Itachi, même pas foutu de tuer toute sa famille... Bon, je vais te libérer de ce lourd fardeau que sont tes yeux.

Etant ninja médecin, Hayen n'eut aucun mal à rendre l'Uchiha aveugle. Il offrît à ses anciens yeux jaunes, la possibilité d'utiliser le Sharingan tant désiré par les Ninjas. Ainsi ses yeux garderai toute leur beauté...

Hayen sourit de nouveau, puis il brisa l'illusion...

Tous les shinobis encore vivants reprirent conscience, ils pouvaient attaquer Hayen, mais après cet expérience, après avoir vu les pouvoirs terrifiant du Jinruchiki, oseraient-ils tenté le combat ?
Hayen se releva, son chakra avait éttonnament baissé, mais il était encore prêt pour un combat. Sa queue avait disparu, il était redevenu lui même... Sasori était encore en vie, vidé de tout chakra, ce qui lui servait de coeur devait encore battre... Mais pour combien de temps ? Plus beaucoup.

Hayen- Shinobis d'Ame... Pauvres fous... Voilà que certains d'entre vous en plût à Houkou et en on patis de leur vie. Bonne chance au village pour sa continuation. Si vous désirez vous venger, n'hésité pas. Je suis prêt à vous coller votre face contre le sol afin de calmer la haine qui vous habite.

Peut être Hayen parlait pour lui même... Mais il avait entendu les paroles de Shizüri grâce au Denpa. Peut être les shinobis d'Ame encore vivants n'était pas loin et s'attendait à un grand combat. Mais Hayen malgré ses dires n'avait plus le coeur à combattre, trop de sang avait coulé...

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Mort de Hanzou, Yamada, Eikichi, Hido, Ginji, Satsubatsu, Kakuzu, Hideyoshi Tsukiyomi . Sasori est aux bord de la mort. Shin Uchiha a perdu ses Sharingans. Les autres vous êtes en direction vers moi. Libre à vous de tenter la mort ou pas. Hayen ne désire pas votre mort.

Technique utilisé:

Maboroshi No Jutsu
Cout : 350 PC
Il s’agit de l’ultime version de l’illusion. L’utilisateur se met en tailleur et se concentre, et ne peut bouger tant que sa technique est utilisée. S’il bouge ou se déconcentre trop, la technique s’arrête. Cette technique affecte toute personne dans une sphère ayant un rayon de 250 mètres

Toute personne touchée tombe dans une torpeur et est plongée dans un rêve contrôlé par l’utilisateur de la technique. Ce dernier construit une sorte de monde imaginaire dans lequel se retrouve toutes les personnes touchées. Mais attention, le rêve parait tellement réel que le corps reproduit en réalité les sévices subis dans le genjutsu.

Ex. : Vous vous faîtes décapités pendant le rêve : vous serez mort dans la réalité avec des marques bizarres au niveau de votre cou.

Safushi qui avait suivi les deux ninja, vu tout le combat et l'admimer, s'il avait bien comprit il foyer deux ninja qui en combat un autre du village de kiri no kuni qui aller tuer une jeune femme, elle aussi du clan des Akatsuki. Sfushi vut toute suite l'ennemie, et vu aussi que les duex ninja était arriver a temp pour sauver cette femmes. Un autre hommes combatter, il était lui aussi ,encore, de l'Akatsuki. Safushi avait promis de regarder le combat sans déranger mais quand il vue la déesse des salmandre son coeur l'obliger d'aller combattre. Alors il sorti de sa manche et prit son fouet dans sa main droite, le serras très fort, prit son élan et sauta de l'arbre ou il était perché. Il a courut près des membres de l'Akatsuki et leur dis:

-Le terrain et maintenant himerger d'eau, et je maitrise le Raiton admitablement, c'est une chance pour nous, il me suffi de faire un courant électrique qui passera par l'eau pour életrocuter notre ennemie...

Il n'eu pas le temp de finir sa phrace que Akasuma l'interrompue:

-Arrête ce n'est as un jeu, tu ne voi pas que nous somme fasse un ennemie de taille!!! tu risque de mourrire et tu reste là!! Ton idée est stupide, croi tu qu'un ninja de cete envergure ce ferait battre par une ruse aussi mal préparer!! dégage d'ici, c'est bien trop dangereux!!

Alors hanzou l'interrompue:

-Akasuma ne soit pas trop dur avec lui, il est bien jeune, mais suit son conseil fuit d'ici pendant qu'il est encore temp.

Safushi baissa les yeux, il savait bien que aurai était leur réponce mais il espèrer ne pas l'entendre, mais se sentir aussi inutile pendant qu'un cmbat se déroule le rendez furieux alors il prit son fouet le posa dans l'eau et cria:

-Je ne reculerais pas, que sa soit un fort ninja je m'en fou, je combatterais comme même

[Mon post est édité. Allez voir si vous n'êtes pas mort.

Pour ceux étant mort, c'est pour le nouvel NDT, tout va bientôt être mis en place, vous pouvez creér un nouveau perso maintenant, mais dans le pire des cas, la semaine prochaine tout se met en place. ]

Le marionnettiste pouvait entendre son coeur battre alors qu'il avait sauvé ses compagnons d'armes. Par la suite, Hanzou et un jeune homme arriva. Sasori, l'image de la mort, sentait son coeur battre, et sans pouvoir réagir, prit dans le genjutsu de Hayen, il ne pouvait rien faire, et but ce que lui avait proposé son adversaire.

Alors qu'il sentait toute son énergie s'évaporer, il vit ses compagnons se faire massacrer, il perdit tous la vie, pendant que lui même perdait la sienne. Armé de Sandaime Kazekage, il tomba les genoux au sol, et prononçant quelques mots:

- Akasuna ... no ... Kurenai ... père ... mère ... je ... tuerais!

Alors que le membre de la lune rouge avait les yeux fermé, ceux ci se réouvrirent, le maitre à genoux, et le Saidaime Kazekage se mettant juste au dessus de lui, le rouquin allait mettre fin au vie qu'il désire, par grande surprise. Alors qu'Hayen ramassait les yeux du Uchiwa, la marionnette de Sasori cracha tout son sable de fer, puis dans un ultime souffle de vie, des piques perfora son corps ainsi que son coeur, mais pas seulement le sien, mais aussi celui d'Hayen ...

- Les génèses de sable de fer ... sont monstrueuses Hayen ... n'est ce pas ? Je m'en vais de ce monde ... mais je serais heureux la ou je vais ... Tu croyais qu'en me dépossédant de toute mon énergie tu me tuerais ... mais Sandaime Kazekage à le sien ...

Dans ses dernières paroles, et un sourire réel, Sasori s'étala alors au sol, sa marionnette tombant sur lui, c'était la fin d'une histoire. Après avoir combattu tant d'homme, il devait mourir, sans pouvoir ce battre, quel honte ... mais il aura tout de même tenté de tuer quelqu'un dans un dernier souffle de vie ... ne jamais abandonné, et résister jusqu'à la mort, c'est ce qu'avait fait ce "puissant" shinobi.

Son coeur cessa de battre, et alla rejoindre ses parents défunts, tout comme lui.

Safushi vut se déssastre, tout ces ninja, même si ils n'étaient pas son ami il se sentais inutile. Alors cette enfant arriva, il pleurer sans doute était-il un des ami a ces ninjas mort.
Safushi sentie une sorte de colère en luialors il prit son fouet, et cria:

-Tu les a tuer, je ne voulais pas, tu n'a pas le droit, TU VAS MOURRIRE!!!!!!!!!!!!!!

Alors il sauta s'accrocha a une branche d'abre solide et avec son fouet il toucha l'eau et cria a noveaux:

-Raikyuu, les boule électrique

Alors le courant électrique passa par le fouet, puis s'écrasa sur l'eau. Shynia n'étant pas près de l'eau n'avait rien a craindre, mais le ninja ayant uer tant de personne nomer hayen avait ses jambes tramper dans l'eau. Safushi s'avourer cette attaque qui alelr causer de gros dégat au ninja.

Mais biensur il évita ...mais le Shynia lanca son attaque hessedan qui transpersa le bras de Hayen. A ce moment là Safushi en profita pour utiliser le déplacement magnétique pour attraper Shynia et l'emporter loin d'ici, cela leur permeta de fuir.

Il n'y a pas d'eau -_-' c'était une illusion de ma part.

Quand à toi Sasori, d'une, il est illusoire de vouloir me tuer, tu es sur le sol, incapable de bouger le petit doigt, donc pas de Kazegake, et de deux, le fait que tu es dit que tu faisais ça lorsque je me mettais les sharingans prouvent que tu a fait ça lorsque qu'on étais tous dans le rêve, et puisque là bas je suis tout puissant, c'est raté pour toi :p mais bien tenté xD

Shynia qui venait d'arriver en courrant à la fin du combat, n'en revenait pas ses yeux, son maître était mort, mais pas seulement, c'était tout un bataillon de ninja qui venait de s'éteindre, sous la furie d'un seul shinobi. Mais qui était-il?, il semblait qu'il soit possedé par une sorte d'esprit ou plutôt de démon au vu des dommages qu'il avait causé. Il devait tout de même être trés puissant.

Le jeune garçon se retrouvait face au combattant, celui-ci titubant quelque peu mais étant prêt à se battre, le coeur du jeune garçon se mit à palpitait rapidement, non pas sous l'effet de la rage, mais sous l'effet de la peur, son corps lui aussi tremblait et ne tarda pas à le forcer à s'incliner en retombant lourdement sur ses genoux. Le visage du garçon était lui aussi totalement marqué, les larmes étaient aux bouts de ses yeux mais ne coulaient pas pour autant. Dans l'immense inquiétude il prononça hasardement.

"Je...Je ne veux pas mourir, s'il vous plait!"

Shynia qui suppliait le shinobi adverse, se trouvait dans une situation plus qu'humiliante pour un shinobi, mais il fallait le comprendre, il n'avait jamais était éduqué sous la joute d'un shinobi ou dans une quelconque académie, de plus son seul maître venait de mourir sur le champ de bataille.

Hayen a écrit:: Il n'y a pas d'eau -_-' c'était une illusion de ma part.

Quand à toi Sasori, d'une, il est illusoire de vouloir me tuer, tu es sur le sol, incapable de bouger le petit doigt, donc pas de Kazegake, et de deux, le fait que tu es dit que tu faisais ça lorsque je me mettais les sharingans prouvent que tu a fait ça lorsque qu'on étais tous dans le rêve, et puisque là bas je suis tout puissant, c'est raté pour toi :p mais bien tenté xD

Pourquoi faut-il que tu sois tojours invincible, a ce que je sach on ne t'a pas tuer alors sa va, tu vas pas faire un drame,de plus je voi aps comment plussieur memebre de l'akatsuki peuvent mourrire d'un coup fasse un seule shinobie ou alors ta un truc exeptionnel mais quoi(a part bras droit de je sais pas quoi?)

Okay, j'en ai marre des membres qui conteste. Banni un jour ^^

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