Hayen courait à présent dans les marais, douce promenade dans un environnement hostile, encore à se demander que faire et quoi jouer désormais qu'on est seul ?
Les marais représentait une partie d'un être malade, le sol était continuellement boueux, les arbres morts cachaient la lueur du soleil et aucune espèce ne semblait pouvoir vivre dans ce territoire hostile. Entre les nombreux marécages, il y a avait pourtant beaucoup de moustique, drôle d'animaux particulièrement ennuyant. Mais aussi des serpents ou encore des humains même parfois, l'humain que recherchait Hayen ne devait déjà plus être dans les marais, mais il fallait une preuve, un petit truc qui attesterai le contraire.
Encore un moment de perdu à rechercher l'amour perdu... Mais Hayen était-il aussi stupide ? Ses pensées n'arrivaient-elles donc pas à dépasser le stade d'un adolescent ? N'arriverai-il donc jamais à vivre heureux même sans être amoureux ? Peut être qu'un jour il se rendrai compte... Ou peut être que sa longue déprime n'était dû qu'à une puberté trop tardive, ou bien son esprit était vraiment rongé par l'amour et la mort et n'arriverai jamais à sortir de ce labyrinthe.
Pourtant, toujours à courir dans les landes crasseuses et interminables, Hayen recherchait un autre genre d'amour... L'argent peut être ? Ou tout simplement l'occupation... Mais le Mizukage s'ennuyait un peu... Il courait depuis pas mal d'heures déjà, dans la forêt, dans les marais, quel serais sa prochaine destination ? Il était déjà passé par les montagnes enneigés, la forêt, il lui restait encore la plaine et les montagnes ? Ainsi que quelque autre endroit paumé où personne n'osait venir habiter, mais comment récupérai les informations dans ces conditions abjecte ? Un pied dans le marécage, le poids du corps qui s'enfonce, Hayen qui soupire et qui retire vivement son pied de cette masse boueuse.
En réalité, Hayen pataugeait complètement dans ses recherches, il avait déjà eu de la chance pour la forêt, et cette fois-ci il ne savait pas vraiment comment faire pour retrouver l'homme et le parchemin. Mais par un heureux hasard (faut bien de temps en temps, de tout façon qui va lire ce fichu post ?) Il retrouva des traces, peu persuadé de leur propriétaire, Hayen les suviti sans grande conviction... Il suivît donc dans les marais, entre les branches mortes et les flaque de boue, les traces de pieds, faible lanterne qui éclairait le chemin obscure d'Hayen... Mais bientôt les traces incrusté dans la boue se séparèrent en trois marques différent, droite gauche et en face... Hayen réfléchissa quelques secondes. Personne n'irai caché le parchemin dans un marécage trop d'humidité... Et le parchemin devait être mis rapidement en sécurité... Hayen décida donc de suivre les traces du milieu, droit vers son destin, il partît aller pourrir la vie d'un autre criminel, triste métier qui réjouissait pourtant le Mizukage, si blasé dans son nouveau travail sans plaisir...
Alors les traces se ramenait de plus en plus vers les montagnes, étrangeté pour le moins singulière et pourtant si bien réel... Le parchemin était donc passé encore dans un autre endroit. Mais la montagne c'est bien... Un chiffre plein le 3, trois endroits... Et puis une cachette dans la montagne ça fait toujours bien... Bel défense, difficile d'accès, Hayen se dit dans un moment de réflexion que cette montagne serai le dernier endroit qu'il aurai à visiter avant de rencontrer ses mecs et leur faire la peau l'un après l'autre.