Mission de rang D

Rang: D
Lieu: Aux portes du village
Mission:
Eloigner les loups du village. Les loups entre dans le village et foute
un bazar pas possible, les gens se plaignent, il faut les empecher de
rentrer !!
Obligation: 35 lignes minimum.
Récompense: 15Pts NDT

Aahhh, a peine arrivé et déja une mission, c'est pas mal, je pourrais me dégourdir les jambes en plus... Enfin bon, voyons en quoi consiste cette mission, je prend le rouleau et commence a dechiffrer les pates de mouche du type qui l'a écrit, je le retiens celui la! Bon alors... Loups....Bordel....empecher de rentrer...Eh attend une minute! Des loups? Qui rentrent dans le village?! Mais c'est pas possible! les loups ont peur de l'homme! Serais-ce un jutsu? mhhh possible... Mais dingue! Qui voudrais faire chier un village en envoyant des loups? L'akatsuki? Nan c'est pas leur genre... En plus cette organisation a été détruite... Un village ennemi? Peut -être... Mais je comprend pas leurs motivations, peut être un deserteur qui a que ça a foutre, ce qui serais possible, ou encore le mysterieux village W.O.S, on sais pas encore ce qu'ils veulent eux! ça reste un mystère dont il faut s'occuper, D'aprés ce papier insignifiant écrit par un dégueulasse qui ne fait que ça de la journée, les loups apparaissent la nuit, il est environ sept heures du soir, ça vas pas tarder, je vais me rendre aux portes, j'y trouverais quelque chose...

Cinq minutes plus tard, je me tiens debout sur la guérite des gardiens de nuit qui viennent d'arriver, ils m'expliquent qu'ils en ont plus qu'assez de se coltiner des loups qui viennent de nulle part, ils ont du bouleau etc etc... En gros c'est une bande de glandeurs qui délèguent leur tache au premier aspirant qui passe par la, c'est du joli!!! J'espère que ça vas changer, Kiri se dégrade de plus en plus, heureusement que je suis la pour relever le niveau! En attendant, je guette, dans le silence le plus profond possible, on entend le murmure de la brume a son oreille et mes yeux tentent de percer le brouillard épais comme du coton, je regarde a droite, a gauche, je balaie une mèche de cheveux rouges qui me tombe devant mes superbes yeux pourpres, puis d'un coup, j'entend... un murmure a peine perspectible, que je vent emporte avant que je ne puisse saisir les paroles, et une minute après, un museau pointe hors de la brume, suivi de prés par deux yeux blancs uniformes sintillants dans la nuit, un loup gris comme le brouillard ambiant qui entoure le village apparais... Il pousse un léger grognement et retrousse ses babines, dévoilant des dents d'ivoire brillantes, la férocitée, et non la peur se lit dans le visage du loup lors qu'il nous apreçoit... Le garde en dessous de moi murmure, aussi bien pour moi que pour son compagnon de guet:

-ça recommence...
-restez la vous deux, je m'en charge, c'est ma mission
-comme tu veux, mais tu nous en débarasses s'il te plait, et pour toujours, je commence a en avoir marre de ça!
-T'as pas a t'inquieter, je serais de retour en moins d'une heure
-bonne chance, vas-y


Je prend appui sur le bord de la guérite, puis mes muscles se détendent et j'arrive au milieux des loups, un blanc sur le côté droit, un roux sur la gauche, un gris devant, derrière, un loup plus gros que les autres regarde, il est gris strié de blanc, et c'est le seul dont les yeux recèlent une lueur d'intelligence... Il pousse un grognement féroce et les trois loups me sautent dessus, je glisse a terre en évitant le premier, il s'écrase dans la boue et roule pendant environ cinq mêtres, puis mon coude viens s'écraser a l'endroit approximatif de la trachée du loup roux, il émet un couinement sonore puis disparais dans un nuage propre aux invocations... Le mystère est résolu, mais pas le temps de se réjouir, les machoires du blanc se referment sur mon bras droit, faisant monter une douleur aigue en moi, mais mon poing s'abat vite sur le haut de son crane, le faisant disparaitre lui aussi, le gris qui avait roulé dans la boue se jette sur moi, je ne le regarde même pas disparaître lorsque mon talon s'abat sur sa nuque. Il ne reste plus que le gros, et a ma grande surprise, c'est un jeune ninja qui a remplacé la bête, il me regarde, a la fois furieux et hébété, puis prend la parole, je remarque son bandeau de Kiri, barré par un Kunaï, un deserteur

-T'as osé tuer mes beaux loups! Comment?
-La ferme, si tu souhaites attaquer un village, tu dois t'ameliorer d'abord, et c'est pas comme ça que tu y arriveras... Au fait, pour quoi tu fais ça?
-A Kiri, on m'a jamais bien traité, j'ai jamais plus avoir d'amis, il parais que ça a quelque chose a voir avec mon père, mais on m'a jamais dit pourquoi, alors je me venge! je vais leur faire payer a tous! et a toi aussi!
-Tu veux te battres? T'es bien tombé: moi aussi! En garde!

A peine ais je dit ça qu'un kunai volait vers moi, le tir n'était pas préçis, il me manque d'un bon mêtre, puis le jeune se jette sur moi, accompagné de trois clônes d'ombre, classique... Mon genoux balaie l'air, et percute la tempe d'un des clones, qui disparais dans un nuage de fumée, le second parvient a me frapper au ventre, ce qui m'envoie glisser dans la boue, comme le loup tout a l'heure, je roule sur moi même alors qu'un kunai se plante a un endroit ou se trouvais ma tête un instant plus tôt, et je me remets debout par un saut carpé parfaitement exécuté, je pare le coup du deuxième clone et mon poing s'enfonce dans sa trachée, il disparais lui aussi, puis le jeune garçon, oubliant toute prudence, se jette sur moi, sans même utiliser du jutsu, je me décale d'un pas et il tombe dans la boue, il n'a pas le temps de se relever, je l'immobilise avec une clef de bras trés efficasse, il ne fait plus un mouvement, la douleur est trop aigue pour ça

-tes loups m'ont salement amoché, mais ce combat n'était pas distrayant du tout, tu dois t'améliorer et te concentrer!
-je t'emmerde! laisse moi!
-Tu as perdu, tu as flanché, tu dois en subir les conséquences
-Que...

Je ne le laisse pas finir sa phrase, je contracte le brad droit et tire, me provoquant un tiraillement de douleur, mais provoquant aussi un craquement chez mon adversaire, son bras se brisa, et il s'évanouit aussi tôt, je mêt son corps sur mon épaule et l'amène, triomphant, aux gardes, leur expliquant que leurs problêmes étaient finis, puis, sur le chemin de retour vers chez moi, je murmure

-Dècevant, trés dècevant, je ne trouverais donc jamais une personne a la hauteur?