A l'hopital

Kakashi etait parti de l'academi pour trouvr les endroits important il sauta de toit entoit mais ne vit aucun lieu important alors il s'arreta et demanda a un villageois si il n'y avait pas un endroit gnreun hopital ou autre choses et le vilageoi lui reondit qu'il y avait un hopital qui etait pas tres loinde ca psition actuelle il lui demanda par ou il devait passer.Il sautat de oit en toit et il arriva devantl'hopital qui commenca a etre en mauvaise etat il entra a l'interieur et allat voir la secretaire en lui disant

"Boujours je vien faire un discour je voudrait que vous reunnissiit tou ls partent dans une salle pour que je leur dise une triste nouvelle."

la secretaire eecut l'ordre de kakashi il etait assez stupefiaiyt il pensait qu'elle allait lui poser tout a tas de qustions et en fate non.Tout les patient etai reunni dans un saalle kakashi entra et s'asseya sur une chaise et commenca a leur dire

"Bien si je vous ai reunni ici c'etaitpour vous dre que votre mizukage vous a lachement quitter en faite il fuit trop de responsabiliter et il etait faible voila la mauvaise nouvel mais la bone c'es que je suis venu ici pour vous dire que si vous le voulez je serait votre mizukage et j'ai remarquer que l'hopital etait en salle etat et bien je vait la renover enfin les ouvriers mais je vindrait les aider aussi alors voila je vous aisse y reflechire mais a si je suis elu mizukage on n'aurai de l'aide d'un autre village allait je vous laisse je doit partir mais soigner vous bien et reoser surtout."

Kakashi sortit de l'hopitl et allat das un dernier endroit

Momochi Akirai arriva trempé par la pluie glaciale qui venait de tomber sur Kiri. il avait sur ses épaules, un valeureux et grand guerriers du nom d'Hayen... un sannin, ayant combattu au coté du Mizukage le Grand Démon a cinq queux. Le sannin était inconscient... Il était maintenant un Jinchuriki.
Akirai le déposa sur un brancard.

Akirai: "Il me faudrait un médecin pour ce shinobi! Il a besoin de soin!"

Momochi Akirai resta a coté du Brancard, le regard toujours animé de cette lueur rougeatre... vêtu son manteau noir et sa capuche...

Izumi-kun, très abasourdi par ces derniers évènements, décida de suivre Momochi Akirai dans les rues désertes de Kiri. En effet, ce dernier n’étant pas originaire du puissant pays de l’Eau, il ne connaissait probablement pas la formation des ruelles du village caché de Kiri no Kuni. A la grande surprise du « Fratricide », ce dernier connaissait parfaitement bien la géographie de Kiri. Peu enthousiaste, il se mit alors à ralentir le pas, comme ci son compagnon d’infortune n’était pas en train de porter sur son épaule le nouveau Sonnin de Kiri dont le nom lui était inconnu. Persifleur comme à son habitude, il finit par s’arrêter pour aller boire un coup à la taverne du village. D’après lui, cet inconnu ne méritait pas un si grand grade et on aurait du le lui attribuer à lui. Après tout, il était un loyal ninja de Kiri depuis vingt deux ans ?! Il croisa les bras, l’air maussade. Après avoir bu une tasse de saké, il se releva et pris la direction de l’hôpital, situé à une demi-douzaine de kilomètres de là.

Le goût amer de cette boisson le rendit encore plus acariâtre, et, lors de son trajet, il passa son temps à insulter l’architecture peu « élégante » de Kiri, le Mizukage, et ce saké de très mauvaise qualité. Il constata avec désabusement que son éducation en tant que shinobi était toujours incomplète. Il arriva à l’hôpital de Kiri No Kuni une dizaine de minutes après l’arrivée du chuunin qu’il surnommait « l’excité », qui s’était probablement perdu lors de son parcours. Nonchalant, il haussa un sourcil avant d’entrer dans la chambre du patient. Ce dernier, placé sur un brancard, avait les traits contractés par la souffrance. Derrière son masque d’anbu, il ne put s’empêcher d’avoir un rictus narquois à l’adresse de ce personnage. Il se réjouissait de la souffrance d’Hayen, de qui il était grandement jaloux. Sans attendre plus, il s’installa à proximité du chuunin « Akirai », puis il se mit à embrasser avec attention la salle. Son regard, inquisiteur, se fixa sur une jeune infirmière dont les formes sensuelles appelèrent presque l’œil indiscret de l’anbu. Satisfait, il contempla pendant plusieurs minutes la poitrine de l’infirmière avant de reconcentrer son regard sur Hayen. Il eut un frisson de dégoût, déconcerté par ce brutal changement.

« -Hé ! L’excité ! Ca te dirait d’arrêter de gesticuler dans tous les sens .. ? J’ai l’impression d’avoir à faire à un sombre idiot. Tout à l’heure, tu disais ne pas l’être, je me trompe.. ? Un ninja se doit toujours de garder son calme en toutes circonstances.. » Il esquissa un sourire acerbe à sa propre adresse, avant de reprendre d'un ton sec et dur : « Tu comprends.. ? Maintenant, tu vois la raviss... infirmière qui se situe là-bas ? Va donc la chercher. Adresse toi à elle poliment, et elle viendra sûrement à ton secours.. Enfin plutôt au secours du type.. Là.. »

Un éclair de lucidité le traversa. Membre de l’ANBU, il avait accès à de nombreuses données sur les meilleurs shinobis des villages cachés, et, il venait de reconnaître ce sombre personnage récemment intégré à Kiri. Il se nommait « Hayen », anciennement Sonnin d’Oto. Ebranlé, un tressaillement de rage traversa son corps aux muscles endormis. Comment donc ce bâtard d’Oto pouvait il accéder à un rang aussi élevé que cela ?! Notre héros, en proie à une nouvelle crise de jalousie, haletait. Sa rancœur envers le dénommé Hayen décupla en l’espace d’un quart de seconde. Sans attendre plus, il se jeta sur le shinobi et arracha sa chemise d’un geste brusque, dévoilant ainsi l’espèce de signe dessiné sur son ventre. Cette fois-ci, sa vague colère se transforma en une animosité frénétique. En effet, le Mizukage venait de faire de cet être dont il ne savait probablement rien un Jinchuuriki. Dans son courroux totalement gratuit, il prit la décision de tuer le mizukage, coûte que coûte. Cet être venait une fois de plus de faire part de stupidité. En effet, il était bien trop faible pour affronter le Mizukage, et, même s’il le faisait quand même, il y avait peu de chances que notre héros s’en sorte vivant. Il écumait de rage.

Momochi Akirai, étant toujours a côté du sonnin Hayen, perplexe et a l'affut de voir une infirmiére aux formes plutôt raffiné, ne bougé pas. Il vit alors l'anbu d'élite Izumi entrer en la chambre du blessé.

Izumi: « -Hé ! L’excité ! Ca te dirait d’arrêter de gesticuler dans tous les sens .. ? J’ai l’impression d’avoir à faire à un sombre idiot. Tout à l’heure, tu disais ne pas l’être, je me trompe.. ? Un ninja se doit toujours de garder son calme en toutes circonstances.. Tu comprends.. ? Maintenant, tu vois la raviss... infirmière qui se situe là-bas ? Va donc la chercher. Adresse toi à elle poliment, et elle viendra sûrement à ton secours.. Enfin plutôt au secours du type.. Là.. »

Momochi Akirai eut alors une pensée.

*Je ne bouge pas... je suis a coté du brancard sans bouger pourtant il m'apelle encore l'exité... je finirais par l'avoir.*

Akirai: "Bien... je vais la voir..."

Momochi Akirai se dirgea alors d'un pas vif vers l'infermiére a la poitrine bombée et au visage raffiné.

Akirai: "Bien le bonjour madamoiselle, je suis un Shinobi de village de Kiri... Je suis içi pour vous demander des soins a prodiguer a notre shinobi qui se trouve dans cette chambre..."

Infirmiére: "Bien, alors je vais aller de suite le voir."

L'infirmiére et Momochi Akirai se dirigeait vers la salle, quand ils ouvrirentla porte de la chambre, ils purent apercevoir Hayen qui avait arraché la chemise du sonnin et qui s'était posté juste au dessu de celui ci. Akirai arriva prés d'Izumi, et celui ci recula laissant libre champs a l'infermiére.

*Mais que faisait ce vim maraud... un jour je finirais par...*

L'infermiére coupa net les pensées du shinobi.

Infermiére: "Vous pouvez disposer maintenant, il est entre de bonnes mains."

Akirai: " Nous vous laissons tranquille alors... Izumi, nous avons ordre du Mizukage de le rejoindre en son bureau..."

Momochi Akirai marcha donc vers la sortie de l'hopital et sortit dans la ville de Kiri.

L'air ambiant n'était pas des plus agréable... Hayen ne sentait plus en lui ce bonheur inexpliquablement présent. Car en cet instant, dans le monde des rêves perdu et dans le tréfond de son esprit, il venait de situer son être. Au delà du commun des mortels, son âme ne pourrait jamais connaître le bonheur.
Sans prendre conscience des sentiments qui l'entouraient alors qu'il demeurait inconscient, Hayen fînit par ouvrir les yeux, sa chemise était ouverte, et plus que jamais la solitude avait envahi cette pièce.

Hayen- Alors... Je ne serai désormais plus jamais seul dans ce corps souillé ? Quelle blague, pourquoi m'avoir offert ce lourd fardeau ? Pourquoi à moi ? Je ne le mérite pas, et d'ailleurs je n'en veux pas; personne n'est capable de me comprendre, et sûrement pas cette ignoble monstre, et quel attitude devrais-je adoptait maintenant ? Qui pourrais me dire ? Je n'ai pas peur d'être rejeté, mais... Je suis complètement perdu.

Seul, dans l'espace ambiant et stérilisé de la pièce blanche, des larmes coulèrent sur son doux visage... Il venait de comprendre, jamais il ne pourrai trouver cette femme qu'il aimait. La dernière partie de son âme qui était resté humaine venait de s'envoler, emportant avec elle les images illusoire des femmes qu'il avait jusque lors rencontré, et avec quelle tristesse il décida par le sceau déssiné sur son ventre de laisser sur ce lit impures tous ces sentiments incompris, dont l'amour et l'amitié.

Hayen- Jamais plus je ne rencontrerai... Pourtant si toi ma soeur était encore vivante pourrais-tu m'aider ? Sur ce lit sont resté mes sentiments, seule toi pourra un jour me les rendre... Je crois encore à ton existence, belle créature, pourtant qui pourrai me prouver que tu ais vécu un jour ? Je suis un spécialiste des illusion, et si un jour pour ne pas me retrouver seul, je m'étais creé une soeur ? Seul amour que je ne pourrais aimer un jour, alors si tu n'existe pas, cela vaut-il la peine de vivre ? ... De toute façon, je doute que ce monstre se laisse tuer d'une façon si misérable, il a bien trop de fierté... Et moi aussi d'ailleurs.

Hayen sécha ses larmes, ses yeux s'illuminèrent, un rayon de soleil vînt éclairer son visage, pourtant le soleil ne pouvait pénétrer la brume de Kiri...

Il se leva complètement et referma sa chemise, puis il partît de l'hopital, sans se préocupper de rien d'autre que sa vie présente et son avenir inexistant...