Ces portes, ses portes, celles du commencement de sa vie, celles de sa vie même, ces deux portes...Elles qui l'ont vues tant de fois passer, elles qui ont habritées ses joies et ses peines...Elles qui l'ont vues fuguer et tuer, elles qui l'ont vues grandir et s'épanouir, partir et revenir, mentir et trahir, confier et avouer...
Il se trouvait à présent devant-elle ou plutôt ce qu'il en restait après l'arriver des shinobis d'oto et de kiri, ainsi que les membres de l'akatsuki...Enfin ces vieilles portes avaient biens résistées, leur solidités avaient été mis à rude épreuve mais elles étaient là, preuve de la force de Suna no kuni, Ashikaru incarnait lui aussi cette force, du moins il l'esperait, le sannin avait une nouvelle fois décidé de quitter le village, mais cette fois si de manière définitive...
Il avait longuement réfléchi, avait pesé le pour et le contre, les bon moments et les mauvais, mais son envie de pouvoir avait pris le dessus, son orgueil aussi. Suna ne pouvait plus rien lui apporter et il ne pouvait rien apporter à suna lui non plus, son choix avait été déclaré. Ce village qui l'avait tant fait souffert, ce village de tous ses souvenirs, les bons mais surtout les néfastes qui avaient envahis son esprit et qui le hantait, il avait décidé de s'en débarasser, l'exil, une solution si facile à prendre mais qui tourmente quiconque ose y penser. Une solution à la fois facile mais s compliquer...Certaines personnes lui manqueront mais ils n'avaient pas eut le temps de tellement s'attacher au gens.
"Adieu!"
dit-il en lançant un parchemin sur lequelle il était écrit:
"Ashikaru,
Hanté par ces rèves
Oh grand désespoir
L'exile m'a paru la meilleur solution
Pour ma soif de pouvoir
Et pour soigner
Les souvenirs qui m'ont traqués...
Une larme pour cette belle cité, un drame pour cette pauvre entité!"
Il se tourna alors en direction du désert, un larme s'écoula de son oeuil, brillant comme une étoile, le soleil se refletait lui aussi sur cette l'arme, le spectre de l'eau, refletant l'arc en ciel, rendait cette larme presque magique, elle s'écoula longuement sur la joue du sannin puis finit par tomber, elle fit une marque refletant l'arc en ciel sur l'entrée des portes, Le sannin posa le pied dessus pour l'éffacer, mais il le retira, cette marque restera à jamais gravées dans la roche de suna, comme le souvenir d'une existance réduite à comprendre le pourquoi de cette pauvre vie qui avait détruit un homme, un homme meurtri aux tendances lunatique, un pauvre homme qui venait de quitter suna comme il l'avait rejoins...