Je ne voyais pas ou mettre ce post, le seul endroit possible etait le mode resumé mais je peux pas poster alors je le met au plus pres.
1ere Partie: "Un destin inalterable."
L'histoire debute il y a 500 ans. Un homme, encapuchonné, marche sous la pluie battante d'une nuit froide. Son teint est pâle, ses paupieres etaient largement cernées, entourant des yeux sans expression. Une seul chose contrastait sur ce visage, deux points rouges vifs au centre de son front.
Les environs etaient totalement silencieux, et aucun animal nocturne n'osait troubler cette ambiance. L'homme, apres quelques metres se stoppa, restant immobile. Il se trouvait devant l'intersection de deux routes perpendiculaires. Un hénissement vint troubler la musicallité de la pluie s'écrasant au sol. L'ombre d'un cavalier refleté par un rayon de lune entre deux nuages apparu sur le chemin a la droite du premiere homme. Arrivé au croisement, il s'arreta lui aussi, silencieux. Aucun regard ne s'echangea entre les deux hommes, ils resterent immobile dans une atmosphere qui devint rapidement electrique. L'aura du premiere homme, de couleur indigo, s'echappait en volutede son corps, celle du cavalier d'un bleu sombre s'echappait elle aussi, semblable a des flammes dansante malgré la pluie. Il resterent ainsi un long moment, l'air chargé presageais des evenements a venir, le cheval s'exitait de minute en minute, ressentant les changements opperants.
Apres une dizaine de minutes, deux autres personne apparurent sur le troisieme chemin face au cavalier, par leur taille on pouvait deviné malgré l'obscurité qu'il sagissait de deux femmes. La permiere, plus jeune que les autres, marchait droite, une grande ombrelle au dessus de la tete alors que la deuxieme portait une large capuche masquant son visage. Arreter elles aussi au croisement, elles entamerent le même rituel immobile que leur predecesseurs. Aussitot apres une cinquieme personne arriva au croisement, sautant d'un arbre. Son Katana blanc et ses apparats vermillons recouvert aux epaules par une chevelure noir comme la nuit fesait contraste avec les vetemens discret des autres personnes presente. Le cheval hénit, agitant sa tete frenetiquement, mais l'homme calma sa monture rapidement, lachant ces mots d'un ton severe, regardant la derniere venue.
Cavalier:
" Vous etes encore en retard, demoiselle Yuhi. "Elle fronca les sourcils un instant puis d'un sourire narquois, tournant les yeux vers son interlocuteur, elle dit:
Mlle Yuhi:
" Humph... je ne suis pas la seul apparement... "Cavalier (ton sec):
" La n'est pas la question, mais l'heure n'est pas aux remontrances... Il est temps. "L'homme sauta alors d'un bond de sa monture, libre, elle s'enfuit au grand galop semblant ne pas vouloir être témoin des evenements à venir. Le ciel devint orageux, les quelques arbres bordant les quatres chemins reunis commencerents a se balancer au gré du vent, les feuilles jaunatre, deja tombé malgré que l'automne venait à peine de commencé, volait en tourbillon autour des cinqs aura. La jeune fille referma alors son ombrelle, la rangeant a sa taille, alors que des flashs de lumiere eclairais un ciel chargé par des nuages se regroupant au-dessus d'eux. Le premiere homme retira sa capuche, revelant un visage aquilin, la deuxieme femme l'imita et laissa s'echappé de sa capuche un chevelure brune. Le tonnere faisait trembler la terre, semblable à la colere des dieux anciens, les eclairs frappaient le sol autour des mysterieux individus, une guerre entre les elements s'entamait dans un vacarme gigantesque. La terre se fissurait, formant de monstrueuses crevasses dont le fond etait invisible, comme les portes des enfers. Le vent balayait tout ce qui avait le malheur de depassé du sol, son hurlement plaintif glacait le sang. Les foudres sabraient le ciel, dans un dechirement etincelant d'une lumiere pure. Tout autour d'eux etait noyé dans un chaos incomensurable, pourtant les protagionistes n'etaient pas affecté, les éléments semblaient les eviter. Cette bataille dura quelques longues minutes, l'humanité entiere semblait peu de chose face à ce combat d'une violence inouïe. Puis une chose improbable se produisit. La cavalier leva les mains vers le ciel, psalmodiant quelques chose dans une langue inconnu et lorqu'il eu finit:
Cavalier:
" SILEO !! "Tout s'arreta comme si le temps avait ete interrompu son cours monotone. Le vent disparu, arretant les nuages dans leur course infinie vers l'horizon. Les grondements du ciel cesserent, la Terre ne se tordait plus. En l'espace d'un instant un contraste s'etait installé, le silence, plus le moindre bruit, pas un bruissement de feuille. Tout semblait avoir ete figé, seulement apres quelques econdes, des profondeurs de la terre un craquement se fit entendre, laissant place à un second plus important et l'homme reprit ce qu'il semblait etre des incantations.
[suite a venir dans la soirée]