Simple traversé

Le Mizukage traversait les plaines dans l'espoir de se retrouvé quelque part. Mais il avait beau réfléchir aux travers de ses diffèrentes missions, déjà trois de réalisé. Il avait vaincu de terrifiants ennemis et n'avait pas reçu la moindre blessure. Et pourtant, sa puissance n'avait jamais été au grand jour dévoilé. Même ce terrible jour à Ame, il n'avait liberé qu'une seule queue et dévoilé le terrible pouvoir de l'illusion...

Aujourd'hui, alors que son corps traversait les plaines désertes, Hayen réflechissait à un nouveau but. Il avait dévellopé toute sortes de pouvoirs, il avait consolidé les Anbu de Kiri et en avait nommé deux aux portes. Kiri était désormais paré à toute éventualité, sauf celle de l'ennui... Dans son bureau en ce moment devait se terrait quelques genins en quête de mission, jamais donc ne se reposait-il ? Tout comme Hayen, peut être recherchait-il la paix intérieur en combattant... Mais le soleil lui commençait son faux repos en laissant la lune recouvrir de son linceuil les plaines dorés. Il décida d'arrêter sa course. Sa course se finit au beau milieu de nulle part, décidé à continuer sa vie inutile, ayant peut être trouvé un petit but sans raison...

Ses yeux s'animèrent une nouvelle fois, le sharingan était de nouveau présent dans ses doux yeux jaunes qui regardait le ciel avec tendresse... Hayen passait parfois du temps ainsi installé, dans l'insouciance de l'illusion. Une femme était à ses cotès, une belle femme brune... Ses longs cheveux ne semblait avoir aucune limite à l'appel de la beauté, et son visage était lui même revetit d'une empreinte inexcusable provenant d'une pureté sans faille, d'une beauté sans égale. Et son corps s'agitait avec volupté et grâce autour du visage presque ébahi d'Hayen. Dans la pénombre maintenant établi sur les plaines, deux êtres partageait leurs vies en toute simplicité. Et bien qu'en réalité, il n'y avait qu'un seul homme dont l'imagination avait de grands pouvoirs, Hayen se complaisait à gacher ses heures dans un terrain inconnu au cotès d'une femme inconnu des yeux du monde.

Hayen- Peut être devrais-je faire quelque chose aujourd'hui et maintenant... Peut être devrais activer mon corps et mes pouvoirs à réaliser quelque chose de bien en ce monde. Mais en ais-je envie ? Qui mérite qu'on lui prète si grande attention... Aujourd'hui comme hier est une journée sans escale, sans vie et sans but. Encore une mission devrais-je réalisé afin de parfaire mon entraînement. Depuis tant de temps j'utilise ce sharingan, à chaque combat que je réalise. Et pourtant, même après avoir tué ma soeur, il persiste à ne pas vouloir devenir plus fort. Bah à quoi donc cela me servirai ? Ne suis-je donc pas déjà assez puissant... Personne en ce monde n'es capable de vaincre mes illusions. Tant que personne n'aura cette anneau. Il est beau, il appartenait à l'Akastuki, une bague plus précisement, belle et verte émeraude, sa puissance n'a d'égale en ce monde, il s'agît sans aucun doute d'un des objets les plus désirés, même si en réalité, personne n'en a connaissance. La bague Torikesu, à qui donc vais-je l'offrir ? Cette seule bague qui a pour pouvoir d'annuler les miens ? Une bague dont je serais à jamais le seul à pouvoir construire, car j'y ais mis tant de temps... A crée cet objet qui ne me sers à rien, si ce n'est offrir à mes ennemis mon point faible.

Durant trois longues années, Hayen avait décidé de construire un puissant objet et de l'offrir un jour à une personne. La bague Torikesu avait pour pouvoir d'annuler tout genjutsu, terrifiant artefact que voilà... Hayen au fond de lui savait déjà qu'elle serait le futur proriétaire de ce bel objet, mais couché dans les plaines, seul, il s'amusait à penser... L'esprit n'est jamais plus beau que dans la douleur et la liberté, Hayen était libre de tout en ces moments, et son sourire témoignait du bonheur éphèmere auquel il goutait en ce moment.

Son buste se releva soudainement et son sharingan s'activa. Il n'avait pas besoin d'entraînement pour parfaire son dojutsu, depuis longtemps il l'avait, il le maîtrisait si simplement. Mais que faire en échange de sa puissance ?! Hayen passa une main dans ses cheveux et se surprit à rire, la réponse semblait intervenir d'elle même. Il ne s'agissait pas d'un banal entraînement du corps, mais bien des sens... Le génie des beaux jours devait aujourd'hui traversait l'esprit plus ou moins guérit du Mizukage, son petit exil n'avait finalement pas été complètement vain. Piegé dans un endroit sans vie, il avait finalement réussi à découvrir la raison de sa vie, la raison de son impuissance et le but final de ses pouvoirs. Il se releva complètement et regarda autour de lui. Son sharingan n'arrivait pas encore à s'exprimer complètement, mais une chose était sur... Bientôt il y arriverai, maintenant que son esprit s'était éveillé à la beauté du monde, désormais qu'il n'avait plus de soucis à se faire, plus de véritable tourment. La vie est empli de problèmes, la vie en elle même est un problème irrésolvable. Hayen avait décidé de percer le problème durant ces trois jours, et il avait en partie réussit.

De nouveau couché dans les plaines dorés, ayant la lune pour lampe de chevet, son esprit s'accorda le repos d'une nuit, accompagné par le doux vent qui secouait les cheveux du Mizukage et nettoyait les dernière tourments de son amour...

Rang: S
Lieu: Plaines
Mission: Le dossier avec les noms des anbus de kiri a été voler par un groupe d'anbu, ils sont 5 aller le récupérer
Obligation: 140 lignes
Récompense: 55 pts

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Hayen venait de quitter Konoha. Il avait pu parler à Kanna avant de quitter définitivement l'élémentariste. Décidé par des actions funestes de se retirer du monde sociale quelque instants encore, Hayen se baladait dans les plaines, prêt à repartir dans son exil de missions sanguinaires... Car, effet n'est plus de constater que le tas de papiers qui se trouvait encore sous le bras du Mizukage n'était pas encore complètement évanoui. Ainsi son corps rapide et agile se donnait l'air d'aller quelque part, avec une conviction évidente. Alors qu'une réalité était tout autre. Hayen traversait les plaines sans savoir où il devait se rendre... Pourtant, ses Anbus étaient en danger, voler une telle liste n'était pas supportable, Hayen devait punir et tuer ces impudents. Mais comme toujours, un terrible problème vint envahir ses pensées... Comment retrouver les cinq mécréants ? Comment faire pour pourfendre ce qui leur servait de corps ? Faible question pour tout faible humain, car Hayen avançait sans réfléchir, dans ses plaines dorés où il avait déjà tant fait.

Cependant, il lui fut forcé de s'arrêter un moment. Brisé par la réalité, il se retrouva seul, au milieu de l'herbe et du néant presque entier. Le soleil ne venait pas éclairer son esprit, car nombreux nuage s'étaient opposé à cette action, laissant Hayen dans les plaines assombris. Plaines dorés se transformant rapidement en plaines assombris, et l'éclat de l'herbe, jaune et bienveillant devint vite repoussant et terrifiant. Cette noirceur fît soudainement peur au Mizukage. Une pluie se préparait-elle en ce lieu ? Ses vêtements si beau serai-il ruinés ?! En fait de vêtements, il s'agissait tout au plus d'un pantalon noir et d'une chemise tout aussi noir, laissant toute observation sur son torse musclé et pourtant pas bien imposant. Sans oublier un noeud papillon, bizarrement installé sur le cou. Non pas que sa place originel ne soit pas celle-ci, mais les préjuges nous forcent à penser qu'il n'est pas sérieux de mettre un noeud papillon de telle façon.
Tout cela importait peu de toute façon, Hayen se remît à marcher, nul village en vue... Nul caravane.... Triste destinée est celle de celui qui ne peut réussir sans tricher. Car oui, Hayen en avait marre de chercher pour rien, il décida dans son inconscience de faire appel à Houkou pour étendre son champ de recherche. Erreur peut être trop fatale... Depuis trois années, il avait conservé son Bijuu à l'abri des combats, pourquoi l'utiliser maintenant ? Houkou et Hayen avait eu nombreuses discussions au sein d'un esprit tourmenté qu'est celui d'Hayen, et maintenant guéris de ces maux de têtes provoquait par l'amour, le mal de vivre et la solitude, le Mizukage s'était figuré pouvoir appeler le terrible pouvoir d'Houkou sans conséquences.

Et c'est bien ce qu'il fît, libérant une queue, bien qu'il n'y eut aucun effet visible, Hayen était concentré... Et en un cri terrible, le ciel foudroya la plaine et un courant électrique vînt envahir toutes les plaines. Le Mizukage restait concentré... Ses yeux fermés il tentait de percevoir une quelconque discussion. Mais il n'entendis que l'empreinte des villageois. N'y tenant plus, il libéra une seconde queue. Son apparence ne changea pas pour autant, bien qu'il semblait difficile pour lui de contenir Houkou. Porté par la vitesse du vent, il traversa le plus rapidement possible les plaines dorés, utilisant sans vergogne le chakra d'Houkou...

Rang: S
Lieu: Village de Mihanasu
Mission: Retrouver et convaincre des bandits de se joindre à notre cause en tant que mercenaire.
Obligations: 120 à 140 lignes
Récompense: 50 à 55 points NDT
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Hayen et ses deux accolytes étaient partis de Konoha il y a quelque heures déjà... Le bureau avait explosé, c'était une certitude. Un Anbu lui avait confié. Mais chose des plus intéressantes, Yondaime était partis, ainsi accompagné de son fils Naruto. Il n'avait certainement pas pensé au village... Que ferai-il si un groupe de bandits mal attentionné venait à l'attaquer ? Hayen avait une nouvelle mission. Debout dans les plaines, regardant au loin le village de Mihanasu, l'air pensif. Lucy vint interrompre cette mélodie pensive et ramenait à la réalité le Mizukage.

Lucy- Hayen. Que faisons nous maintenant ? Inutile de nous avoir tous trois ici désormais ? Inoue ne réponds pas à vos attentes, vous devriez vous reposer sur nous deux. Nous sommes prêt à envahir Konoha.
Hayen- Pas de précipitation jeune Lucy. Je veux en aucun cas blesser les ninjas de Kiri. Il nous faut des mercenaires . Si personne ne soupçonne Kiri, et personne ne le pourra, nous aurons champ libre.
Lucy- Vous oubliez qu'il reste encore Kanna à Konoha.
Hayen- Cette petite sotte a donner ma bague à un Jinruchiki. Il est clair que je ne peux pas m'approprier son esprit. Mais voyons, elle seul, fait-elle le poids face à moi ? Elle n'a pas reçu les enseignements de Matsumoto, et en cela réside sa faiblesse. Elle ne pourra rien faire et je la manipulerai autrement, ne t'en fais pas pour ça Lucy. Elle n'est pas un obstacle sérieux.
- Maître. Kurenaï semble revenu à Suna.
Hayen- Ah ? Nous en avons aussi là bas ?
Lucy- Plus ou moins... Mais c'est vrai que ce nouvel élementariste ne présage rien de bon.
Hayen- Suna est trop dangereux pour le moment, accaparons nous Konoha et servons nous de ce village pour attaquer Suna. Hissori est prêt. Mais pour cela, il me faut des mercenaires. Le village de Mihanasu en regorge, allons donc chasser les imbéciles qui s'y trouvent. Inutile que vous veniez avec moi, Lucy, tu retourne à Kiri veillez sur le maître de là bas. Toi, tu pars... Humpf, Wos me dérange, j'ai déjà un espion là bas, mais il se repose.
Lucy- Vous avez pu voir où se trouve le village ?
Hayen- Oui... Et il est terriblement bien protegé, je n'y rentrerai pas aussi facilement qu'à Konoha.
Lucy- Usurpez l'identité de votre ninja. Personne ne peut tromper vos illusions.
Hayen- Je ne le sais Lucy. Leurs technologie vient d'un endroit bizarre, peut être qu'il peuvent trahir mes illusions. Quoi qu'il en soit, vous allez tous deux à Kiri pour le moment. Apprenez mon enseignement à ceux qui en seront dignes.

Les deus ninjas hochèrent de la tête et disparurent immédiatemment. Hayen regarda autour de lui, dans ses plaines, longtemps il avait rélfechis. Ici son amour s'était envolé, ici son mangekyou s'était revelé... Tant de souvenirs qui ne pouvait qu'alimenter la vengeance déjà établis. Hayen se souvint encore de son ancien Kage Kimimaro. Et de sa façon pitoyable de conquérir le monde. Le but d'Hayen était tout autre, mais son intelligence et ses pouvoirs le ménerait à la victoire. WoS et Suna n'était que de faibles obstacles et il parviendrai à les détruire.
C'est ainsi que Hayen quitta les plaines, sous le soleil rouge du soir, en direction du village des déserteurs et vagabonds.