Moi, moi et juste moi :)

Hayen venait d'arrivé... Sombre départ dû à l'amour éphémere d'une femme dont la beauté illusoire avait semé le doute dans son esprit, mais le brouillard opaque avait chassé en lui tout affres des connaissances de la vie.
Mais la vue certaine d'un shinobi provoqua l'émoi de ses sentiments profondément humains... Un homme, car de tout évidence, s'en était un, se tenait droit devant les imposantes portes de Kiri face à lui, comme la compétition d'une vie perdu... Hayen était arrivé derrière cet arrogant personnage, vétu tout de noir, comme pour prouver son malheur et partager ce sentiment aux autres avec dédain et prétention.

Hayen- Alors comme ça l'impatience est à tes cotès? Permet moi donc d'attendre avec toi, petit être humain...

Sans bandeau sur son front, ni ailleurs d'ailleurs, rien ne laissait présager son appartenance ancienne au village d'Oto no Kuni. Aussi, l'Anbu ne pourrai avoir de soupçons...

Hayen ne s'attendait pas à une réaction si puéril et impertinente de la part d'un Anbu si misérablement doti par la nature. Le shinobi réagit avec cette fougue qui n'appartient qu'aux jeunes, mais lorsqu'il se retrouva face au Sonnin, il fû enseveli dans un genjutsu. En tout bon proffessionel du Genjutsu, Hayen avait réalisé le genjutsu Shibari en quelques secondes, ceci fait, Hayen alluma une cigarette et se mît à lui parler

Hayen- Alors c'est ça l'armée de Kiri? Un mec qui se comporte comme un bourré? Tu n'es plus dans ton champ paysans, et cet habit noir ne trompe que toi. Alors en attendant ton Mizukage, tu restera comme ça, d'accord? En réalité, tu aurai peut être être dû t'asseoir, c'eût été plus élégant, et autrement confortable pour toi, mais bon dans la vie on a pas tout ce que l'on veut tu sais? Par exemple, moi j'aurai voulu être avec une Anbu en ce moment, et je me retrouve avec qui? Un gamin à peine plus jeune que moi qui ne sait même pas faire la différence entre un bon et un mauvais shinobis... Alors, je vais t'apprendre un truc, tant que tu n'aura pas mon niveau de puissance, évite d'être impertinent avec le premier étranger que tu rencontre, d'autant plus que si je n'étais pas moi même impertinent, je t'aurais tué...

Hayen regarda dans le profond lointain de Kiri, et ce qu'il y vu ne l'écarta pas de ses doutes, puisque la brume répandait sur ce terrain sa douce caresse.

Hayen- Ah, et essaie de mettre un peu plus de subtilité dans tes actes et paroles, ca ne fera qu'énerver encore plus ton interlocuteur, mais si il te tue, il ne pourra répondre devant la justice.

Le sonnin tourna la tête, mais aujourd'hui comme toujours, son regard resta embrumé par le brouillard.

[C'est un genjutsu de niveau 2 et tu ne peux pas le briser à l'aide d'un simple "Kai" , mais bon, je vais fermer l'oeil pour cette fois-ci]

Fort heureusement pour l'Anbu, Hayen était doté d'une patience et d'un calme hors du commun, qui plus est pour un shinobis de son rang, mais il restait malgré tout un humain et toutes actions entraîne une réaction... Or une réaction d'Hayen, ça fait mal

Hayen- Crois-tu vraiment que j'ai du temps à perdre avec un petit anbu? Tu n'a aucun pouvoir, seulement une grande fierté et un honneur qui te menera à ta mort, je suis resté sympa avec toi jusque là mais puisque ton Kage ne se ramène pas je vais devoir t'éduquer moi même, comprend-tu? Toi me tuer? Tu serais déjà bien heureux de pouvoir me toucher... Tu a de la chance d'être tomber sur un sannin aussi patient que moi mais là, désolé, c'en est trop.

Hayen executa le Baku Mandara et l'anbu de kiri se retrouva enfermé dans une bulle de chakra, dont il ne pourrait sortir sans l'aide de son Kage...

Hayen- Voilà... Si ton Kage ne vient pas rapidement, ta mort est assuré... Pauvre de toi.

Hayen regarda l'Anbu en rigolant et alluma une cigarette

zoko arriva devant les portes et vie les hommes qui se scrutait .

Zoko sentit s'ette aurat austile qui appartenait au jeune homme au manteau noir .

Zoko dégaina son sabre puis se mit a 10 métre des deux hommes puis il sécria :


Je suis zoko un aspirant de se village je vient y prendre mon poste et rentré dans l'école qui peut me faire rentré dans l'école de se village


Merde c'est koi c'est chakra aussi puissant qui sorte du corp des deux homme je les sent et ses les plus puissant que j'ai jamais sentit pensa zoko

De la glace apparût aux pieds des portes sombres, au milieu de la brume, une enveloppe sans âme propre venait d'atterrir. Et quel désarroi se dessina sur son visage pur... Au delà de l'ésthétisme de la technique, plutôt belle que laide, bien qu'un peu trop vieille ? Peu importait désormais, l'amour perdu n'est que trop jamais désiré, et cela même si l'amour jeune n'est rien et nous pousse pourtant à tout. Mais de quelle indifférence était à ce moment là animé Hayen ? Un homme visiblement vieux pour lui, l'image incrusté du chef sévère et vieux, gardant cependant cette air jeune et rebelle.

Technique détruite ? Dommage, il allait mourir, qu'importe, si il allait aussi partir ? Cela revenait décidement au même... Hayen regarda l'homme, désinvolte sans aucun doute, mais tout aussi impertinent que d'habitude

Hayen-... Je suis un tas de choses mon grand... Mais sûrement pas un de tes Shinobis, pourtant je cherche en Kiri une terre d'asile, me l'accorderai-tu ?

Si peu d'information délivré, toujours aussi mystérieux, ses yeux jaunes observant avec insitance le vulgaire clone envoyé pour lui. Quelqu'un lui pretait attention et cela c'était déjà une bonne chose non ? Soudainement, dans la brume opaque, un shinobis apparût, faible, pitoyable, et pathétique.

Hayen- Tu es... Un aspirant? Vraiment? En tous cas tu en a tous les symptomes... Pauvre de toi

Regard changé de cible, Zoko l'aspirant. Tandis que pendant ce temps la cigarrette d'Hayen finissait sa course en direction du sol froid...

Un jeune homme se fit voir au loin... vêtu d'un long manteau et d'une capuche, qui assombrissait son visage que l'on ne pouvait apercevoir. Seul une lueur rouge se fesait voir, il avait une cigarette a la bouche...
Un vent froid le fit remonter sa tête, laissant apercevoir son visage, marqué, semblerait-il, d'un rictus irritant... Plus il s'approchait, plus l'on put se rendre compte qu'aucun rictus n'était là, seul un visage livide et sans aucunes sensations ainsi que des yeux qu'inspiraient a la mort...
Il aperçut le petit regroupant de shinobis.

*Je viens juste d'arriver et deja plusieurs êtres insignifiants sont là...*

Il continua sa route puis se mit non loin de l'aspirant de Kiri.

Momochi Akirai: "JE SUIS MOMOCHI AKIRAI!! JE DESIRE VOIR LE MIZUKAGE!!"

Akirai attendit donc, non loin de tout ces shinobis, cigarette a la bouche...

Momochi Akirai vit alors le Mizukage... Sa cigarette alla s'écraser au sol sous le pied de Momochi Akirai. Il regarda le Mizukage sans aucunes sensations... sans aucuns sentiments... Il le vit dégainer son sabre qu'il transforma en katana de glace et le pointer vers Hayen...

*Bien... il parle a tous ces shinobis, leur donne un ordre...et moi, il m'ignore... nous allons voir...*

Akirai sortit son katana qui était sous son long manteau noir. Il leva les yeux au ciel... Puis se mit a parler.

Akirai: "Si pour vous attirer il faut que je fasse une chose alors j'en ferais une."

Momochi Akirai baissa la tête et son regard se fit plus profond... il regarda le Mizukage ainsi que le Sanin...

*Je ne suis peut être pas de leurs niveaux mais, je ne me laisserais pas intimider pour des choses aussi futiles que celles ci...*

Akirai: "S'il faut que je me batte pour vous faire montrer que je suis là... alors je vous embrocherez volontier.... L'un ou l'autre..."

Zoko rengaina sont katana puis se tournat vert shigo .

Merci Mizukage De m'acepter dans votre village


Zoko fit un salut a Shigo puis passat devant les hommes.


La brume avait laisser place a des nuages gris qui annoncer une pluit certaine

Au moment ou Zoko passat devant l'homme qui venait de jeter une cigarette et qui l'avait insulter il sentit le méprit et la haine l'henvahir puis il s'exclamat calmement :

CRAPOTEUR

Ses doigts, longs et fins, se mirent à trembler. Pris d’une toux violente, Izumi-kun expectora à plusieurs reprises un liquide rougeâtre qui ressemblait vaguement à du sang. Vaguement, car ce « sang » (si c’en était un) était d’une couleur sombre, sombre comme la nuit de Kiri : impénétrable. Mitsui se rendit compte que, lors de son combat contre le Mizukage, il avait probablement abîmé quelques uns de ses os, voire quelques organes secondaires. Frappé une nouvelle fois par l’ironie du sort, il ricana vivement avant de se mettre en chasse du Mizukage qui ne semblait pas avoir été affecté par les insultes d’Izumi-kun. Pour lui, la stoïcité du Mizukage devenait dérangeante, presqu’insoutenable pour le jeune Anbu. Il accéléra le pas puis il déboucha sur la grande porte de bronze de Kiri. A quelques mètres de cette fameuse porte, il vit le mizukage sauter par-dessus la porte, et il s’empressa de l’imiter.

Juste après avoir atterri dans une flaque de boue, il poussa un juron. Maudit par le sort, il ne put s’empêcher de rire, se narguant lui-même. Bien qu’il soit très sale, il s’approcha malgré tout vers le Mizukage et les autres protagonistes de la scène. Il arborait un sourire narquois. Il lorgna chaque personnage présent, puis ne put s’empêcher de rire une nouvelle fois. Ce jeune aspirant ninja, visiblement armé d’un katana, semblait provoquer un juunin du village de Kiri dont le nom lui était inconnu. Sardonique, il se dirigea vers le futur shinobi et le gifla brutalement.

« Petit ! Ne joue pas avec ça, tu risques de te blesser.. Sacré gamin.. Disparais ! » Après avoir déclaré cela, il se retourna vivement vers le Mizukage et « MIZUKAGE ! J’attends tes excuses ! Excuse-toi ! Bougre de merde ! Matou de Konoha ! EXCUSE TOI ! »

Bien qu’il paraisse être complètement sur de lui et en pleine santé, une douleur atroce parcourait chacun des membres contusionnés du shinobi. Sans même attendre la réaction du Mizukage, il cracha une nouvelle fois un peu d’hémoglobine sur le sang. Ensuite, il fit quelques pas en direction du sannin déserteur et le toisa, méprisant. Il prononca quelques injures envers les déserteurs dans sa barbe, puis il s’assit à côté du Juunin qui semblait s’exciter. Il commença alors à reprendre son souffle, comme si une terrible bataille venait d’avoir lieu. Ses poumons semblaient se déchirer, et la violente douleur reprit très vivement. Même si son état se détériorait, il saisit violemment la jambe du juunin et serra le plus fort possible, comme s’il avait l’intention de briser les os de ce shinobi belliqueux. Persifleur, il ajouta :

« Shinobi, ce morceau et pour moi. Va dans le village, je te prie. Ce serait une décision raisonnable, non? »

Momochi Akirai, qui se tenait prêt a affronter les deux shinobis, eut son regard d'attiré vers une personne, recouverte de bout... Et prononçant des injures a tout bouts de champs.
Il le suivit du regard, et vit cette personne mettre une claque a l'aspirant.

*S'occuper d'un aspirant... ce petit être qui m'avait manqué de respect...quelle perte de temps... je n'ai pas que cela a faire...*

Puis se reconcentra dans l'action. Soudain, il sentit une main exercer une forte pression sur sa jambe. L'homme recouvert de bout venait de lui agripper la jambe.

*Mais qu'est ce qu'il me veut lui?*

Anbu d'élite: « Shinobi, ce morceau et pour moi. Va dans le village, je te prie. Ce serait une décision raisonnable, non? »

Momochi Akirai repoussa la main de l'homme aussi violament qu'il l'avait agrippé.
Momochi Akirai reconnut alors un Anbu d'élite.

Momochi Akirai: "je ne te laisserais rien... va plutôt te soigner... moi je dois prouver que je suis capable de faire parti de Kiri No Kuni..."

Akirai degaina son katana, l'atmosphére se fesait de plus en plus pesant atour d'Akirai... Le regard d'Akirai avait encore changé...ses yeux reflétaient l'envie de tuer.... La brume revenut en grande quantitée...

Quand son regard croisa celui du jeune shinobi ayant l’intention de prouver sa force, son faible sourire s’élargit et se transforma en un horrible sourire ironique. Il posa son regard sur sa main droite, qui venait d’être violemment dégagée par le personnage et ne put contenir son rire plus longtemps. Son rire, railleur et méprisant, accentuait la misère qui émanait de ses loques souillées par la boue. L’esclaffement de ce sombre personnage s’arrêta brusquement, puis il se releva. Il sortit de sa sacoche une pilule ressemblant étrangement à de la réthaline. Il s’empressa d’avaler cette pilule. Aussitôt, il ne sentit plus la douleur qui parcourait son corps, et son visage devint d’un coup impassible. Calmement, il saisit un des kunais qui traînaient sur sa ceinture et se plaça entre le Mizukage et entre Momochi Akirai. Il leva son bras, et, après avoir récité une courte prière –il est athée-, il lança les kunais en direction du Shinobi insolent.

Anticipant les mouvements de son adversaire, il se glissa sur le côté droit, et attrapa le katana du jeune aspirant ninja toujours présent sur les lieux. Tel un guerrier, il brandit son katana en direction du Juunin et il prononça quelques incantations et le Katana se transforma en un bout de glace, lui aussi. Une faible lueur s’alluma dans le regard dénué de sentiments de l’Anbu qui se dirigea vers le belliqueux Shinobi. Il lui cracha du sang à la figure et, comme s’il était bien trop occupé pour botter le derrière de cet énergumène, il se retourna puis il se dirigea vers le Mizukage. Il tenta de frapper le Mizukage, mais, très fatigué, il tituba et n’atteignit pas le Mizukage. Blasé, il laissa tomber le pic de glace au sol et il s’assit une nouvelle fois sur le sol.

« Après tout, je n’ai pas de temps à te consacrer. Sache que Kiri n’est pas une terre pour les chiens, et je ne laisserai pas un chien souiller ce village. »
*Ce jeune shinobi est très belliqueux, je n’aime pas trop ça.. Il veut combattre chacun d’entre nous parce que le –stupide- personnage que je dois appeler Mizukage l’ignore, ou du moins ne lui a pas donné d’instruction claire. Le Mizukage se doit d’intervenir, ce jeune homme a probablement l’intention de venir s’installer à Kiri. Il faut absolument qu’il sache respecter les règles de notre ou .. ou quoi ? Rien. »

Blasé, il poussa un soupir peu sonore à l’adresse du Mizukage. A chaque fois qu’il mettait en doute la façon d’être des autres, Izumi-kun se faisait avoir à son propre jeu. Il se remémora à cet instant un vieux proverbe énoncé par son senseï, il y a bien une vingtaine d’années de cela. Ce proverbe, stipulait qu’on devait d’abord retirer la poutre dans notre œil avant de retirer la paille dans l’œil du voisin. Ce dicton semblait être parfaitement approprié pour la risible situation. Aujourd’hui, les gaffes d’Izumi-kun semblaient s’accumuler, et cela le fit sourire. Son sourire, persifleur, semblait se moquer d’Izumi-kun lui-même. Une situation bien ironique pour un ninja tout aussi ironique. Comme s'il était coupé du monde, il se mit alors à observer avec tranquilité les fleurs qui encerclaient son emplacement.
Ces fleurs étaient magnifiques.

[HRP: Je post rapidos histoire de débloquer tout le monde, mais c'est bien parce que Shigo me le demande, moi je suis crevé è_é]

Hayen observait la scène, son esprit s'était déjà envolé vers des cieux plus clément où les gens ne chercherai pas le combat à tout bout de chemin... Il se rappella soudainement la douceur de Naki Batsu, quelle délicatesse et qu'elle diplomatie l'habitait... L'élévation de son âme, l'intelligence dont elle était pourvu devait bien rendre jaloux les belliqueux de Kiri. Malheureusement, Suna n'était pas un terre d'asile pour un ninja d'Oto, et le souvenir de ce doux moment passé à ses cotès valaient mieux que de vivre constamment à ses cotès et découvrir l'hypocrisie qui masquait son visage lors de leur rencontre...

Pourtant, Hayen n'eût guère le temps de penser plus longtemps à elle, il n'avait ni eu vent des paroles du kage, ni celles des diffèrent shinobis présent, et quelle chance avaient-ils eu! Hayen même en son étât d'humain apathique n'en reste pas moins doué d'une certaine fierté qui aurai écrasé les Anbus d'élite si le sabre glaçé du Mizukage ne venait pas vers lui.
Sans vouloir vraiment se battre, Hayen sortît son katana noir toujours illuminait d'une couleur rouge qui, incrusté dans la lame, n'en donnait qu'un effet plus sale et impure à la démarche du Sonnin. Le sabre rencontrît le katana, et sous le crissement des lames, Hayen regardait son adversaire, n'importe quel Genjutsu aurait eu raison de cet élémentariste, car Hayen s'était renseigné sur eux, il avait déjà rencontré Dangamesh et connaissait le point faible de ces êtres si puissants... Mais le but ici n'était pas de tuer le Mizukage, seulement de prouver sa valeur au combat, et quoi de plus naturel que de montrer sa maîtrise du katana sans utiliser la moindre goutte chakra? Car enfin je vous le demande, à quoi cela servirai-il? Hayen n'aimais se battre que lorsque sa vie est en danger...

Zoko apret cette prit cette claque reprit ses esprits et il rentra dans le village en se gurant qu'un jour il retrouveré se vantard a la grand gueule .

Zoko rentrat dans le village en passant devant ces homme qui lui semblait titanesquement plus fort que lui .

Il se retrouva au milieux des rue et sortit une gourde de saké puis il y but longuement pour se remettre de ses émotion et de sa peur qu'il ne pouvait cacher maintenant .

Zoko demandat a un villagois qui se promener dans le village ou se trouver l'académit puis apret avoir été aiguiller il partit en rangeant sa gourde .

Akirai, aprés avoir suivit l'action étrange qui venait de s'effectuer... regarda l'Anbu partir a l'attaque du Mizukage... Puis tomber par terre. Akirai vit alors l'Anbu partir regarder par terre, certainement les fleurs qui l'entouraient. Il regarda aussi le jeune aspirant rentrer au village... Puis vit la décision étrange du Mizukage, aprés seulement un coup de sabre, d'accepter le sanin...

*Mais pourquoi laisse t'il ce sanin entrer?...*

Momochi Akirai fut surpris de voir le Mizukage se diriger vers lui. Il put alors entendre ceci...

Mizukage: "Si tu me tue...tu deviendras Mizukage...c'est ton test pour pouoir rentrer à Kiri...Mizukage ou rien..."

A l'entente de ces mots, Akirai eut une reaction.

Akirai: "Mizukage.... ma place n'est pas celle de Kage... J'ai réussi a attirer votre attention en dégainant... maintenant que je l'ai... j'aurais pensé avoir le droit de passer... Mais non. Vous me le refusez en me demandant de me battre en un combat a mort avec vous...Pour prendre votre place ou rien... Donc, si je n'en est vraiment pas le choix... alors je me battrai... Mais sachez que je vous respect et que je suis a vos ordres..."

Sur ces paroles de Momochi Akirai, Akirai s'inclina devant le Mizukage et se releva... il pointa son katana vers le Mizukage puis attendit une réaction...Bonne ou mauvaise...

Momochi Akirai fut surpris de la réaction de mizukage qui fut de toucher le bout du katana de Momochi Akirai, juste au moment où Akirai allait se reculer pour éviter d'avoir une confrontation avec le Mizukage, la glace commença a envahir son corps. La glace montait de plus en plus haut pour ne laisser que sa tête depasser.

*Sa y est... je suis pris au piége.. je n'en attendais pas moins du Mizukage... Mais je ne peux me résoudre a mourir comme cela...*

Akirai eut un battement de la paupiére droite... signe qu'il commençait a vouloir de dégager... a vouloir utiliser sa force... un petit craquement se fit entendre, la glace s'était légérement fisuré dans tout son dos... Akirai ferma les yeux pour faire un effort qui lui aurait était des plus fort, mais, il entendit la voix du Mizukage.

Mizukage: "...Bien...Sois tu meures en honorable ninja de Kiri, sois tu fuis et tu as la vie sauf..."

Akirai leva les yeux au ciel...avec son visage toujours sans aucunes sensations...

Akirai: "Mizukage... mon envie d'être dans ce village et de vous servir est sans limite... je ne suis guére un "super" ninja... et j'aurais put attendure de VOUS, que j'aurais voulu comme sensei... que vous me conduisiez a être un ninja comme Kiri en attend. Mais, j'ai envie de vivre... DE VIVRE POUR LE VILLAGE KIRI... alors autant mourir pour ce village... même si je n'en fait pas parti..."

Sur ces mots, des morceaux de glace commencérent a tomber par terre, le froid que ressentait Momochi Akirai était terrible mais son envie de devenir un ninja véritable de Kiri en était encore plus terrifiante... La glace commençait a ce fissurer de toutes parts...

Akirai tomba au sol. il réussit a se remettre debout rapidement, ramassa son katana... Le froid qui lui tenait maintenant compagnie était bien présent... Akirai reprennait son souffle... Il refoura son katana délicatement.

*Ce Mizukage...quel force... maintenant je suis chunin... je vais devenir un vrai ninja de Kiri...*

Il regarda le Mizukage repartir. Puis Momochi Akirai se dirigea vers l'intérieur de la ville de Kiri... Mais il s'arréta prés de l'Anbu qui lui avait anciennement adressé la parole et tenté une attaque, en vain, sur le Mizukage.

Akirai: "Désolé pour tout a l'heure, tu veux de l'aide? et comment t'apelle tu au faite?"

*Peut être cette Anbu pourrait m'aider...*
Akirai regarda l'Anbu amicalement...