Test Akirai

Momochi Akirai, qui s'était arrêté en route pour voir un peu la ville de Kiri No Kuni, arriva tranquillement au bureau du Mizukage qui devvait se trouver a une quinzaine de kilométres de l'hopital. Il était revêtu d'une capuche noir et d'un long manteau noir qui lui faisait un côté funébre... son étui a katana dépassa sur le côté et cigarette a la bouche, qu'il avait allumé en route.
Il arriva alors devant la porte du Mizukage où il écrasa sa cigarette dans un cendrier de glace non loin de là. Il frappa trois fois a la porte. Celle-ci s'ouvrit. Akirai fit deux pas en avant.

Akirai: "Bonjour Mizukage. Je suis içi... comme vous en avez donné l'ordre."

Momochi Akirai attendit alors.

Momochi Akirai, qui était là, dans le bureau du Mizukage, aperçu alors la beauté de son bureau son ordonnement. Mais Akirai fut surpiris des accoudoirs cassés du fauteuil ou se trouvait le Mizukage.

Mizukage: "Ah...Oui...bien...Je vais te poser...quelques questions. Si tu y répond bien, je te ferais passer à l'étape suivante, si tu y répond...mal...Tu auras tord."

Momochi Akirai vit alors le Mizukage se diriger vers la sortit en indiquant a Momochi Akirai de le suivre.

Mizukage: ""Première question... Qui es tu ?"

Le Mizukage était restait neutre de face a cette question...

Akirai: "Je suis un homme... dont sa vie lui est cher, qui est devenu shinobi de Kiri avec les efforts que j'ai put fournir, et qui est prés a défendre son village au pérille de sa vie comme pour defendre un de ses camarades shinobi."

Akirai marchait a coté du Mizukage.

Momochi Akirai, surpris par le geste du Mizukage qui lui glaça le bras, sentait atrocement la douleur mais ne la montrait guére.

Mizukage: "Bon...deuxième question...quel est...le sens de ta vie ?"

Sur cette question, Momochi Akirai avait l'intention de ne pas échouer.

Akirai: "Je ne suis qu'un être humain, mon sens de la vie est de vivre."

Momochi Akirai suivit le Mizukage.

Momochi Akirai répondit alors une chose au Mizukage lorsqu'il était n'était plus de glace et que le Mizukage lui avait dit.

Mizukage: "Tu n'es pas non plus un animal, et ne va pas dans mon sens pour répondre juste ! Faible être humain !! Toute vie à un sens...sinon la vie n'a aucun sens, a moins de chercher ce sens...qui est sensé motiver...n'as tu rien qui te motive ? Tu ne vis que pour vivre ? Dans ce cas tu ne mérite même pas de me lécher les pieds !!"

Akirai regarda alors le Mizukage... sans aucune trace de sentiment ou autre chose futiles... Il parla froidement et comme il l'avait pensé. En sachant les risques...

Akirai: "Je dis que je veux vivre, cela me motive et lorsque je dis que je vis pour protéger un camarade ou ce village... vous me glacez de même... Je vais vous dire, JE vis pour ce village et protéger ses habitants!"

A ce momoent, les deux Shinobi se trouvaient au milieu de l'aréne.

Après le départ d’Akirai, Izumi-kun resta plusieurs minutes dans la pièce où l’on avait entreposé le Sennin d’Oto. Les murs étaient blancs et vides, le sol, noir, était fait de plusieurs grosses pierres de marbre. Le plafond, quant à lui, comportait plusieurs fresques qui relataient les glorieux antécédents du village de Kiri. Bien qu’endurci à ce type de patriotisme exacerbé, Mitsui ne put s’empêcher d’avoir un sourire méprisant envers son village. Ces imbéciles ne comprenaient toujours pas que le fait d’être l’héritier d’un passé glorieux n’était pas important, et cela insupportait le jeune Mitsui-kun. Peu importe, se dit-il, ces idiots énergumènes resteront toujours idiot. Il toisa une dernière fois le corps d’Hayen –enfin, ce qu’il en restait- avant de se lever. Apparemment, le Mizukage l’attendant –Momochi et lui- à son bureau. Nonchalant, il prit la décision de suivre le chuunin après avoir poliment salué la séduisante infirmière.

Toujours aussi amer, il ne mit que très peu de temps à atteindre l’imposante tour du Mizukage et il rentra sans attendre, n’adressant même pas un bref regard à l’adresse des jeunes ninjas situés aux alentours de la tour. Le soleil venait de se lever sur le pays de l’Eau, et les premiers rayons de l’astre commençaient déjà à éclairer la ville plongée dans un épais brouillard. C’est alors que notre jeune héros se rendit compte de toute la fatigue qui engourdissait son corps. Cela devait faire bien une semaine qu’il n’avait pas goûté au plaisir d’un lit bien moelleux, et cela contrariait plus que tout notre héros. Le regard noir et l’air froissé, il franchit très rapidement le pas du bureau du Mizukage et s’installa sans même saluer l’assemblée sur un fauteuil situé au fond du gargantuesque bureau de Shigo. Le bureau était toujours en désordre et les murs toujours aussi crasseux. Le sol, taché du sang qu’il avait précédemment craché, n’avait pas été nettoyé. Il huma l’air, avant de tousser violemment. Une odeur de tabac régnait dans cette salle aux allures misérables. Stoïque d’apparence, il n’en était pas moins enflammé au fond de son âme.

« Bonjour Mizukage, bonjour l’excité. Je présume que vous vous souvenez tous de moi. Hmm.. Alors, vous faisiez ? Continuez, faites comme si je n’étais pas là. Faites comme chez vous, Tamashi-kun. » Il se mit alors à marmonner dans sa barbe « C’est toujours aussi moche ici.. M’étonne pas que le vieux Shigo soit considéré comme un mizukage de pacotille.. Hmm.. »

Il retint un rire nerveux quand il se rendit compte qu’il était le seul à penser cela du Mizukage. Enfin, ça n’avait guère d’importance, après tout…Tout à son aise, il croisa les bras puis se mit à lorgner les deux autres participants de la scène. Il poussa un soupir de soulagement quand il vit Momochi Akirai se ramasser aux questions et il commença à pianoter sur le fauteuil qui l’acceuillait. Ses doigts fins et longs, d’un teint aussi blafard que celui de son visage, commençaient à jaunir au fur et à mesure que la fumée de la pipe se dégageait dans la salle. Déjà irrité, son insatisfaction n’en fut que plus accentuée. Il se leva brusquement et se dirigea vers Shigo et il frappa violemment dans la pipe qui pendait de ses lèvres. La pipe, ancienne et raffinée, s’écrasa brutalement sur le mur jauni du bureau. Il poussa un soupir de satisfaction avant d’aller se rasseoir très rapidement. S’il se dépêchait tant, ce n’était pas par pure insolence mais plutôt par crainte du courroux légendaire du Mizukage. Blasé, il haussa les épaules avant de bailler.

« Fumer c’est mauvais pour la santé, vous ne saviez pas ? Votre excellence, vous vous devez d’être plus respectueux de votre corps. Que feraient les villageois si vous mourriez…? Un mizukage ne doit pas être aussi individualiste que vous… Reprenez donc votre test, faites comme si je n'étais pas là. Ce petit a besoin d'une formation, et c'est pas moi qui vais la lui dispenser. »
*Si ce sombre nigaud crève, je paye ma tournée..*