C'était un matin au village d'Ame-No-Kuni. Un ciel tourmenté de gros nuage gris limitait l'horizon aux collines prochaines et rendait la ville mélancolique. Le arbres était nus. Les dernières feuilles tombait en une sorte de vol plané; large et lent d'abord, qui s'accentuait d'un seul coup comme le plongeon d'un épervier dès que l'angle de chute devenait moins obtus. L'air était humide et tiède. Des ondes de vent couraient par intervalles. Le ronflemment monotone du vent donnait sa note sourde qui se prolongaient en une plainte lugubre comme un sanglot déséspéré d'agonue ou un vagissement douloureux, qui montrait bien la situation du village. Ce n'était qu'un champ de ruine, les maisons et autres constructions semblaient s'être faites balayer par une tornade. L'amat de gravats rendaient le paysage chaotique, seul quelques maisons située vers le fin fond du village avait encore quelque tuiles.
Devant ce paysage chaotique, Seitô sortait d'une de ces maisons qui avaient vaillament survécu mais qui ne restait que des loques. Il était habillé comme d'habitude, un bermuda court et noire, de la même couleur un pull a haut col qui lui cachait le visage lorsque le froid était trop rude. Ses bars et ses jambes était soutenus par des bandages, non signe de blessure mais par soucis de tenir ses membres en cas de chute. Sortant donc avec un pas léger qui caractèrisait sa venue Seitô Yamnaka voulait aider le village. Il se dirigeait donc au centre du village pour interpeller un homme de commandemant dans l'espoir de lui voir confier une tâche.