Retour d'un entrainement au village de Suna [ libre]

Ses pas crissait dans le sable chaud. La sueur perlait sur son front. En plus de la chaleur écrasante, il venait de terminer un entrainement épuisant. Il n'était qu'a 500 mètres des portes de Suna. C'était la première fois qu'il était sortit du village. Il c'était entrainer dans la forêt, dans laquel il avait marché longtemps, le jour de son arrivé, il y a 2 ans. Des éclairs de souvenirs remonta a la surface:
*Il faisait son entrée dans le village lors de ces
13 ans, au mois d'automne. Les arbres perdaient leur feuilles rouges, a
côté des maisons haute, et de couleur vive. Les rues étaient couvert de
sable et on avait l'impression que de souffler dans cette ville
déclancherait une tempête de sable. Il mena une vie de solitaire,
faisant missions et entrainements régulierement. Il vivait dans un
appartement, situé dans l'extrémité Nord de Suna. Mais les loyers
augmentait, et ses réserves eux, baissait. Il avait décider de faire de la
collocation, malgré ses humeurs peut bavarde. Un beau jour, un jeune
homme, qui devait avoir 18, 20 ans frappa a sa porte. A vrai dire, le
garçon, nommé Zankuu, ne parlait pas beaucoup de lui. Lui aussi était
ninja, et Rei avait décider de cohabitter avec ce garçon. Il était originaire
du village d'Oto, et était médecin. une amitié solide s'était construit
entre les deux garçons. Zankuu lui avait apprit les bases médicales. Ils lui avait enseigner rapidement les point de chakra. Reicky c'était spécialiser dans une
technique de médecine, consistant a planter des sortes d'épines dans
ces points, pour endormir, immobiliser, ou pour tuer. Cette relation avait durer un an. Zankuu était repartit a Oto. mais avant, il lui avait fait un dernier
cadeau. Son moignon sanglant laissa la place a une main mécanique
couleur or, ou les jointures de chaques phalanges ressortait. On voyait
les soudures, mais le plus important c'était la solidité. Du métal
solide, qui ne se faisait couper par aucune lame.
Il avait reprit sa vie
de solo. Il avait déménager, dans le centre ville, dans un appart plus petit.
Il avait rencontrer plusieurs personnes, comme Yumee, une jeune fille aveugle
qui titilla ses certitudes. La première personne qui avait été sincère
avec lui. Elle était si pur ! Mais elle était atteint d'un cancer du
poumon, et elle était morte, a peine un mois après leur rencontre.
Abattut
par ces pertes Reicky s'était renfermer sur ces multiples personnalités. Sur
ces mensonges et ses sourires. Sur ses blessures et ses crimes.
Sur sa véritable personnalité.*
Quand il ressortit de son passé a Suna, il était déjà devant les portes. Il adressa un sourire polie aux gardes, qui attendait une reaction de cette adolescent immobile. Il tira d'un coup sec le bandeau frontal accroché a son cou. Le noeud se défit, iritant sa nuque. Il montra la plaque de métal centré sur un tissus noir, aux gardes, qui vérifièrent l'authenticité du symbole.
Ils s'écartèrent, et l'un des deux hommes rendit le sourire a Reicky. Quand il rentra dans sa ville, le sourire faux qu'il avait adresser au gardes se remplaça par un véritable sentiment.
Il était content de retrouver son village. Il était resté deux jours, en entrainement intensif. C'était l'été, et les couleurs des rues et des maisons était éblouissante. Comme si tout était un château de sable, il souffla. Il bascula la tête en arrière, scrutant le ciel d'été. Il avait retrouvé sa ville, sa chaleur, son bruit et ses gens. Il bifurca a droite, dans la rue ou il avait rencontré Yumee. Il arriva au tournant, et grimpa sur une des poubelles. Il grimpa aisément sur le petit toit d'a côté. La, comme il y a 2 ans, il s'assit en tailleur et regarda l'infini du ciel.
Du coin de l'oeil, il observa les passants qui allait et venait, comme si il espérait voir une jeune fille aveugle et son loup blanc... Son regard semblait se brouillé. La flamme de joie disparaissait. Alors, il s'allongea sur les tuiles brulantes, passa ses bras derrière sa tête. Il resta là, repassant avec douleur, les images d'un jeune fille au yeux voilé, au sourire si pur, aux cheveux si long...
Il déglutit. Tout celà lui semblait si loin,
et pourtant... la douleur était la même. Il se redressa. Le soleil
était descendut. Les gens marchaient, compressé les un contre les
autres, sans se regarder, sans se parler. Les personnes aussi sincère
que Yumee était rare. Non, l'être humain n'était qu'un Homme avide de
pouvoir et de richesse, avide de conquête et de gloire. Remplit de
mensonge et de lacheté. Il s'approcha du bord du toit, et laissa ses
jambres pendrent. le métal de la gouttière brulait ses mollets nus, et
il retira ses jambes bien rapidement. Il les replia contre sa poitrine,
et posa son menton sur ses genoux écorché. Il observa la race humaine
pressé, qui ne profitait ni de la nature qu'il ne faisait que détruire
ou qu'il tentait de dominer. Ils étaient incapable de s'appuyer sur
quelque chose sans tuer ou dominer. Il était inconssevable pour eux
d'être dominer par quelque chose... Impossible d'accepter la différence.

Lui préfèrait observer ce qui l'entourait...

Seul quelque ninja était ainsi. Jamais il n'avait connut d'Homme
n'étant pas ninja le comprendre. Non, pas qu'il s'agisse de racisme ou
de mépris, mais il ressentait pour ces Hommes une méfiance constante.

Il resta là a observer cette rue, combien de temps ? Il ne le savait pas. Le temps semblait filler entre ses doigts.

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